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suppléer

suppléer [ syplee ] v. tr. <conjug. : 1>
• 1305; souploier « abonder, se soumettre » v. 1200; lat. supplere « remplir, compléter »
I V. tr. dir. Littér.
1Mettre à la place de (ce qui est insuffisant); mettre en plus pour remplacer (ce qui manque). Les procédés par lesquels on supplée la gravure. remplacer. Spécialt Suppléer un terme sous-entendu.
2Combler, en remplaçant, en ajoutant. Suppléer une lacune. Remédier à. Suppléer un manque, un défaut.
3Se mettre ou être mis à la place de... pour remplacer (ce qui manque) ou renforcer (ce qui est insuffisant). Suppléer qqn, remplir ses fonctions, sa place, son travail. Suppléer un professeur ( suppléance) . Il « suppléa de plus en plus son beau-père dans la direction de l'entreprise » (Romains).
Remplacer, jouer le rôle de (qqch.). « Le poêle, quelque bien chauffé qu'il soit, supplée toujours imparfaitement le soleil » (Gautier).
II V. tr. ind. (1559) SUPPLÉER À... Plus cour.
1Apporter ce qu'il faut pour remplacer ou pour fournir (ce qui manque). « La volonté puissante de Pierre [le Grand] suppléa à tout ce qui manquait » (Mérimée).
2Remédier à (un défaut, une insuffisance) en remplaçant, en compensant. réparer. « Il ne disposait que d'un vocabulaire très pauvre et suppléait à cette indigence par l'image, [...] par l'accent » (F. Mauriac). (Sujet chose) Remédier à (un manque), en prenant la place de, en se substituant à (qqch.).
3Avoir la même fonction, la même utilité que. remplacer. « aucun enseignement ne saurait suppléer chez l'homme à l'inspiration de sa nature [de l'âme] » (Renan).

suppléer verbe transitif (latin supplere, compléter) Littéraire. Apporter ce qui manque à quelque chose pour être complet : Suppléer la main-d'œuvre par des machines. Littéraire. Remplacer quelque chose qui fait défaut : Suppléer l'incompétence par la bonne volonté. Remplacer quelqu'un de façon temporaire ou définitive dans ses fonctions : Suppléer un professeur absent.suppléer (difficultés) verbe transitif (latin supplere, compléter) Conjugaison Attention à la succession de é et de e dans certaines formes de la conjugaison de ce verbe difficile : une titulaire suppléée par une auxiliaire ; un manque que suppléerait ce dispositif provisoire. Construction et sens 1. Suppléer qqn, qqch = le remplacer, jouer le même rôle. L'adjoint supplée le directeur lorsque celui-ci s'absente. La navigation par satellite a suppléé l'usage du sextant. 2. Suppléer à qqch = remédier au défaut de qqch, mettre à sa place qqch qui en tient lieu. Les pommes de terre ont suppléé au pain. La qualité supplée à la quantité. 3. Suppléer qqch = ajouter (ce qui manque) ; fournir (ce qui est nécessaire pour que qqch soit complet). Si vous ne pouvez pas réunir les fonds dont vous avez besoin, je peux suppléer la différence. Registre Les sens 1 et 2 relèvent de l'expression soignée, le sens 3 du registre soutenu. ● suppléer (synonymes) verbe transitif (latin supplere, compléter) Littéraire. Apporter ce qui manque à quelque chose pour être complet
Synonymes :
- ajouter
- compléter
Littéraire. Remplacer quelque chose qui fait défaut
Synonymes :
- compenser
- racheter
- remédier à
- réparer
Remplacer quelqu'un de façon temporaire ou définitive dans ses fonctions
Synonymes :
- se substituer à
- servir de
suppléer verbe transitif indirect Remédier à l'insuffisance ou à l'absence de quelque chose par quelque chose d'autre qui remplit un office équivalent : Il suppléait à son manque de facilité par le travail. Remplir le rôle, la fonction de quelque chose, s'y substituer : La qualité supplée à la quantité.suppléer (synonymes) verbe transitif indirect Remédier à l'insuffisance ou à l'absence de quelque chose par quelque chose...
Synonymes :
- compenser
- contrebalancer
- corriger
- pallier
- remédier à
- réparer
Remplir le rôle, la fonction de quelque chose, s'y substituer
Synonymes :
- remplacer

suppléer
v.
rI./r v. tr.
d1./d Litt. Parer à l'insuffisance de; compléter. Suppléer le nombre des volontaires par des désignations d'office.
d2./d Faire cesser (une insuffisance, un manque) en complétant, en remplaçant. Suppléer une lacune.
d3./d Remplacer (qqn); être utilisé à la place de (qqch). L'offset supplée aujourd'hui de plus en plus la typographie.
rII./r v. tr. indir. Suppléer à.
d1./d Porter remède à (une insuffisance, un manque); compenser. Le courage supplée à la faiblesse numérique.
d2./d Avoir la même fonction ou le même usage que; remplacer. La mémoire supplée chez lui au raisonnement.

⇒SUPPLÉER, verbe trans.
A. — Empl. trans.
1. Suppléer qqn
a) Remplacer occasionnellement ou provisoirement une personne; tenir temporairement la place de quelqu'un; exercer ses fonctions. Les équipages étaient excédés de fatigue, et à peine, sur chaque bâtiment, se trouvait-il un seul homme qui pût travailler à la manœuvre avec les officiers, qui étaient obligés de suppléer les matelots (Voy. La Pérouse, t. 1, 1797, p. 138). Elle arrivait de Strasbourg pour soigner sa tante, la suppléer dans son service; et, sans perdre de temps, elle commença le ménage (MARTIN DU G., Thib., Pénitenc., 1922, p. 768).
b) Empl. pronom. Se remplacer l'un l'autre. Plus tard j'eus un collègue. Chacun de nous fut de service pendant six mois. Nous pouvions nous suppléer l'un l'autre au besoin (BALZAC, Lys, 1836, p. 183).
2. Vieilli, littér. Suppléer qqc. Ajouter ce qui manque à une chose afin de la rendre complète.
a) Mettre à la place d'une autre qui fait défaut, ou qui est insuffisante ou incomplète, une chose qui en tient lieu; remplacer. Le ciel, la mer et les rochers retentissants de la côte sont illuminés par des éclairs qui suppléent le jour, et nous montrent de temps en temps notre route (LAMART., Voy. Orient, t. 2, 1835, p. 334).
b) Ajouter ce qui manque, corriger ce qui est défectueux, pallier les inconvénients, remédier aux défauts de quelque chose; compléter. On doit suppléer dans le contrat les clauses qui y sont d'usage, quoiqu'elles n'y soient pas exprimées (Code civil, 1804, art. 1160, p. 209). Une abondante provision de conserves de toutes sortes suppléerait les médiocres plats de l'hôtel (GIDE, Immor., 1902, p. 385).
) Domaine littér. Ajouter à une phrase ce qui y est sous entendu; combler un manque. Mme de Chateaubriand était femme à suppléer le texte et à remplir très bien la lacune; mais elle avait trop de conscience pour altérer la vérité et pour interpoler un document authentique (CHATEAUBR., Mém., t. 1, 1848, p. 115). Dans tout vers remarquable d'un vrai poète, il y a deux ou trois fois plus que ce qui est dit: c'est au lecteur à suppléer le reste... (VIGNY ds BREMOND, Poés. pure, 1926, p. 128).
Suppléer ce qui manque à un auteur. ,,Remplir les lacunes qui se trouvent dans ses ouvrages`` (Ac. 1835-1935).
) RELIG. CATH. Suppléer les cérémonies du baptême. ,,Faire à l'église le supplément des prières et des cérémonies omises lors de l'ondoiement`` (MARCEL 1938).
c) Remplacer quelque chose d'absent; jouer le rôle de quelque chose; mettre/être mis à la place de quelque chose. Si l'ingénieur eût possédé un sextant (...) l'opération [calcul de la longitude] n'eût offert aucune difficulté. Ce soir-là, par la hauteur du pôle, le lendemain, par le passage du soleil au méridien, il aurait obtenu les coordonnées de l'île. Mais, l'appareil manquant, il fallait le suppléer (VERNE, Île myst., 1874, p. 122). Hier, on transformait Société des Nations en S.D.N. Ce n'était pas assez: ces lettres qui éliminent la parole et la suppléent, on cherche à les concentrer encore davantage en une sensation auditive plus simplifiée (HUYGHE, Dialog. avec visible, 1955, p. 43).
Absol. À qui la couronne irait-elle? Il n'y avait pas de lois constitutives du royaume. Née de l'élection, d'une sorte de consulat à vie devenu héréditaire, la monarchie n'avait pas de statut. L'usage, le bon sens suppléaient (BAINVILLE, Hist. Fr., t. 1, 1924, p. 86).
B. — Empl. trans. indir. Suppléer à qqc. Remplacer une chose par une autre. Suppléer à l'insuffisance de; suppléer au défaut de; suppléer au nombre, au manque de moyens par.
1. Compenser un manque, un défaut, une insuffisance en remplaçant, en ajoutant, en pourvoyant à.
a) Domaine concr. L'éléphant (...) supplée aux mains par sa trompe (CUVIER, Anat. comp., t. 1, 1805, p. 159):
... ces dames m'interrogèrent sur l'origine de l'institution des Sourds-Muets de naissance: (...). L'idée sublime de (...) suppléer par l'éducation aux organes de l'ouïe et de la parole qui leur manquent, avant d'avoir été fécondée dans la tête, ou plutôt dans le cœur de notre célèbre abbé de l'Épée, avait été entrevue à différentes époques...
JOUY, Hermite, t. 3, 1813, p. 260.
b) Domaine abstr. et métaphys. Rien ne me manquera là, qu'une église, qui est trop éloignée pour des visites quotidiennes. Toujours quelque chose manque aux voyageurs; mais Dieu supplée à tout, comme me disait mon saint curé de Saint-Cyr (E. DE GUÉRIN, Lettres, 1839, p. 261). Permets qu'une nuée de sauterelles s'abatte sur un champ, et elles montreront que le nombre supplée à la force (MÉNARD, Rêv. païen, 1876, p. 140).
2. Utiliser à la place de; avoir recours à. Ceux que leur pauvreté empêchait de boire du vin y suppléaient par une liqueur faite d'orge fermentée, une sorte de bière, sans doute (DU CAMP, Nil, 1854, p. 312). Résolutions (...) Quand je ne puis assister aux Offices les dimanches et fêtes, y suppléer par des visites au Saint-Sacrement (DUPANLOUP, Journal, 1866, p. 272).
3. [Le suj. désigne qqc.] Se substituer à une autre chose; en tenir lieu; avoir le même rôle, la même fonction que (quelque chose). À mi-chemin le jour nous manqua: heureusement la lune y suppléa de temps en temps (DUSAULX, Voy. Barège, t. 1, 1796, p. 204). Chez certains aveugles, le toucher supplée dans une certaine mesure à la vue (PROUST, Temps retr., 1922, p. 809).
Empl. pronom. réciproque. L'urine et la transpiration cutanée n'ont-elles pas de grandes ressemblances? Ne peuvent-elles pas se suppléer l'une l'autre? (CUVIER, Anat. comp., t. 5, 1805, p. 214). Les trois sortes d'activité ainsi situées et définies ne peuvent pas se suppléer les unes aux autres. Elles sont toutes les trois nécessaires, chacune à son plan (MARITAIN, Human. intégr., 1936, p. 319).
REM. Suppléteur, subst. masc., rare. Synon. de suppléant. Le Général Barclay avait le choix de demeurer à l'armée ou de venir reprendre le portefeuille des guerres; il a préféré conserver un commandement principal, et le portefeuille demeure à son suppléteur, le Prince Kouchagoff (J. DE MAISTRE, Corresp., 1812, p. 209).
Prononc. et Orth.:[syplee], (il) supplée [-ple]. Ac. 1694, 1718: suppleer; dep. 1740 -plé-. Étymol. et Hist. 1. a) 1280 verbe trans. souppleer « pallier (un manque, un défaut) » (Clef d'amour, 164 ds T.-L.); 1314 suploier (HENRI DE MONDEVILLE, Chirurgie, éd. A. Bos,276); b) 1452 verbe trans. indir. suppleer a « remplacer » (A. GREBAN, Mystère de la passion, éd. O. Jodogne, 2503); 1460-83 supploier a « remédier à l'insuffisance, au défaut de quelque chose » (JEHAN DE ROYE, Chronique scandaleuse, éd. B. Mondrot, I, 2); 2. 1320 verbe trans. soupplir « remplacer » (Arch. JJ 60, f° 140 r° ds GDF.); 3. déb. XIVe s. verbe trans. soupplier « ajouter ce qui manque à » (JEHAN BRAS-DE-FER, Pamphile et Galatée, éd. J. Morawski, 2544); 1377 suppleer que « préciser que » (ORESME, Livre du Ciel et du Monde, éd. A. D. Menut et A. J. Denomy, 76a, pp. 19-20); 1549 « rétablir ce qui n'est pas exprimé dans un texte » (EST.); 1587 suppleer les cérémonies du baptême (CAYLUS, Œuvres badines, V, p. 195); 4. a) 1557 verbe trans. « remplacer quelque chose, en tenir lieu, en parlant d'une autre chose » (R. ESTIENNE, Gramm. franç., ap. LIVET, La Gramm. franç. et les gramm., p. 410 ds GDF. Compl.); b) 1854 verbe trans. indir. « substituer à quelque chose une autre chose qui la remplace » (NERVAL, Filles feu, Isis, p. 650); 5. 1461 verbe trans. suppleer le lieu de qqn « occuper la place de quelqu'un, remplir sa fonction » (G. CHASTELLAIN, Chroniques, éd. Kervyn de Lettenhove, t. 3, p. 332); 1636 verbe trans. indir. suppleer pour qqn « id. » (MONET ); 1690 verbe trans. indir. suppleer au défaut de qqn « id. » (FUR.); 1788 suppleer qqn « id. » (FÉR. Crit.); 6. 1748 verbe pronom. « (d'une assemblée) se compléter quand il lui manque des membres » (MONTESQUIEU, Esprit des lois, L. II, chap. III, éd. G. Truc, t. 1, p. 17); 1762 « être remplacé par quelque chose d'autre » (J.-J. ROUSSEAU, Émile, I ds LITTRÉ). Empr., avec diverses tentatives de francisation au lat. supplere « compléter en ajoutant ce qui manque », « ajouter pour parfaire un tout », « suppléer, remplacer ». À côté de diverses autres formes souppleer, suploier, soupplir, etc., la forme suppléer paraît provenir d'une réfection opérée sous l'infl. conjointe du lat. supplere, de supplier et de mots comme créer. Fréq. abs. littér.:696. Fréq. rel. littér.:XIXe s.: a) 1 808, b) 658; XXe s.: a) 692, b) 646. Bbg. GOHIN 1903, p. 262 (s.v. suppléteur).

suppléer [syplee] v.
ÉTYM. 1305; fin XIIe, v. intr. souploier « abonder; se soumettre », par confusion avec une var. de supplier; du lat. supplere « remplir; compléter ».
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I V. tr. dir. Littér.
1 Mettre à la place de (ce qui est insuffisant); mettre en plus pour remplacer (ce qui manque). Ajouter, substituer (→ Parure, cit. 7). || Les procédés par lesquels on supplée la gravure (cit. 2). Remplacer.
(1549). Gramm. ( Suppléance, 2., suppléant, 2.). || Suppléer un terme sous-entendu (→ Pari, cit. 7).
1 Il se lit (…) dans ce traité des phrases qui ne sont pas achevées et qui forment un sens imparfait, auquel il a été facile de suppléer le véritable (…)
La Bruyère, Discours sur Théophraste.
2 Combler, en remplaçant, en ajoutant… || Suppléer une lacune, une ellipse (cit. 1).Remédier à… || Suppléer un manque, un défaut.
3 Se mettre ou être mis à la place de… pour remplacer (ce qui manque) ou renforcer (ce qui est insuffisant). a Compl. n. de personne. (1788). || Suppléer qqn, remplir ses fonctions, sa place (→ Essayer, cit. 19). Suppléance, suppléant. || Suppléer un professeur.Par ext. Faire le travail de… || Le maréchal-ferrant (→ Maréchal, cit. 2) qui suppléait les vétérinaires.Au pron. récipr. (1748). || Se suppléer : se remplacer l'un l'autre.
2 Chacun de nous fut de service pendant six mois. Nous pouvions nous suppléer l'un l'autre au besoin (…)
Balzac, le Lys dans la vallée, Pl., t. VIII, p. 910.
3 M. de Montech, dont le nom n'avait jamais paru dans la raison sociale, devint président du conseil d'administration et suppléa de plus en plus son beau-père dans la direction de l'entreprise.
J. Romains, les Hommes de bonne volonté, t. III, XI, p. 144.
b Compl. n. de chose. (Fin XVIIIe). Remplacer, jouer le rôle de (qqch.).
4 Le poêle, quelque bien chauffé qu'il soit, supplée toujours imparfaitement le soleil.
Th. Gautier, Voyage en Russie, X.
Au pron. passif. || La sollicitude maternelle (cit. 2) ne se supplée point, rien ne peut la suppléer, elle est irremplaçable.
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II (1559; 1460, supployer). Plus cour. V. tr. indir. || Suppléer à…
1 Apporter ce qu'il faut pour remplacer ou pour fournir (ce qui manque). || Suppléer aux idées intermédiaires que l'on a supprimées (→ Diffusion, cit. 3).
5 La volonté puissante de Pierre suppléa à tout ce qui manquait.
Mérimée, Hist. du règne de Pierre le Grand, p. 82.
2 Utiliser à la place de qqch… || Les anciens suppléaient à nos machines par des esclaves (→ Horloge, cit. 3).
3 (1460, supployer). Remédier à (un défaut, une insuffisance) en remplaçant, en compensant (→ Bon, cit. 29). Réparer (4., vx). || Il suppléait à l'indigence de son vocabulaire par l'image, par l'accent (cit. 5). || Suppléer à son ignorance (→ Druide, cit.), à la stérilité de ses idées (→ Insipide, cit. 6)…(Sujet n. de chose). Remédier à (un manque), en prenant la place de…, en se substituant à… || Suppléer à l'instabilité des institutions (→ Originalité, cit. 1).
4 Avoir la même fonction, la même utilité que… Remplacer (→ Éclipser, cit. 3; flair, cit. 3).Suppléer à (ce qui est insuffisant) : remplir un rôle qui ne l'était plus (→ Désister, cit.; quoique, cit. 12).
6 Rien, rien ne remplace l'âme : aucun enseignement ne saurait suppléer chez l'homme à l'inspiration de sa nature.
Renan, l'Avenir de la science, X, Œ. compl., t. III, p. 871.
DÉR. Suppléance, suppléant.

Encyclopédie Universelle. 2012.