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sergent

sergent, ente [ sɛrʒɑ̃, ɑ̃t ] n.
serjant 1050; lat. serviens, p. prés. de servire « être au service de »
1 N. m. Anciennt Officier de justice chargé des poursuites, des saisies.
(1829) SERGENT DE VILLE : agent de police.
2(1798) Sous-officier du grade le plus bas des armées de terre et de l'air (cf. Maréchal des logis). Sergent instructeur. « caporal en Afrique, sergent à Sébastopol, lieutenant après Solférino » (Zola). Sergent-chef : sous-officier d'un grade immédiatement supérieur à celui de sergent. Des sergents-chefs. Sergent-major : sous-officier (intermédiaire entre sergent-chef et adjudant), chargé de la comptabilité d'une compagnie. Des sergents-majors. Sergent-fourrier.
3 N. m. (1549; même métaph. que valet) Techn. Serre-joint de menuisier.

sergent nom masculin (latin serviens, -entis, de servire, être au service de quelqu'un) Premier grade de la hiérarchie des sous-officiers dans l'armée de l'air et dans les armes et services de l'armée de terre. (Ce grade correspond à celui de maréchal des logis dans d'autres armes.) ● sergent (expressions) nom masculin (latin serviens, -entis, de servire, être au service de quelqu'un) Sergent de ville, ancienne appellation des gardiens de la paix.

sergent
n. m.
d1./d Sous-officier du grade le plus bas dans certaines armes (infanterie, génie, aviation, etc.).
Sergent-chef, sergent-major: sous-officiers des deux grades intermédiaires entre ceux de sergent et d'adjudant. Des sergents-chefs, des sergents-majors.
d2./d TECH Serre-joint de menuisier.

⇒SERGENT, subst. masc.
I. A. — HIST. [Sous l'Ancien Régime]
1. Domaine civil et judiciaire
a) Sergent d'armes. Massier qui précédait le roi dans les cérémonies et les tournois. Divers officiers de la maison du roi portaient le titre de Sergents; il y avait des Sergents d'armes pour les cérémonies et les tournois (BOUILLET 1859).
Rem. [À la Chambre des communes du Canada] ,,Fonctionnaire qui accompagne l'orateur avec la masse (symbole de l'autorité de la Chambre). Il a la garde de la masse, de l'ameublement et des installations de la Chambre des communes`` (Admin. 1972).
b) Sergent (de justice). Officier de justice subalterne, chargé de signifier les actes de procédure et de mettre à exécution les décisions de justice. Sergent de la prévôté; sergent du bailli du Palais; sergent exploitant par tout le royaume. [Le gentilhomme] ressemblait au clerc du plus pauvre sergent de justice (BALZAC, Me Cornélius, 1831, p. 224). Nous voyons l'échevinage [d'Amiens] (...) faire exécuter par les sergents de la commune ses ordonnances et ses jugements (THIERRY, Tiers État, 1853, p. 454).
En partic. Sergent royal. Sergent relevant d'une juridiction royale. Jean Beaucaire, huissier, sergent royal au siège de la prévôté (ERCKM.-CHATR., Hist. paysan, t. 1, 1870, p. 282). Sergent à cheval. Sergent du Châtelet exerçant son office à travers tout le royaume. C'est une servante qu'on mène pendre (...) nous vîmes (...), entre des sergents à cheval, une assez belle fille (FRANCE, Opin. J. Coignard, 1893, p. 243). V. infra ex. de Hugo. Sergent à verge ou sergent à pied. Sergent autorisé à remplir les fonctions de juré-priseur et de vendeur de biens. N'était-ce rien que d'avoir toute suprématie sur les sergents de la douzaine (...), les quatre sergents fieffés, les cent vingt sergents à cheval, les cent vingt sergents à verge (HUGO, N.-D. Paris, 1832, p. 227). Sergent de (la) paix. Sergent des juridictions ordinaires. (Dict. XIXe et XXe s.). Sergent des tailles. Sergent chargé du recouvrement des impôts. Le Conseil du roi fixe annuellement le montant de la taille (...). Les collecteurs, ou sergents des tailles, établissent enfin la cote de chaque taillable (GDEL, s.v. taille).
c) [Notamment en Normandie] Sergent fieffé, sergent noble, sergent de l'épée, sergent de (la) querelle. Titulaire d'une sergenterie (infra rem. 2 b). Les fonctions des sergents nobles de Normandie paraissent avoir été d'abord militaires, et on les appelait sergents de l'épée. (...) Il existait d'ailleurs, autre part qu'en Normandie, des sergents fieffés, c'est-à-dire des vassaux tenus par devoir de leur fief de faire des exploits pour la conservation des droits du seigneur dominant (MARION Instit. 1923). V. supra I A 1 b ex. de Hugo.
2. Domaine milit.
a) Soldat. Sergent de ronde. Voici des gens avec des hallebardes (...) Ce sont messieurs les sergents qui s'en viennent de la tour de Nesle (MÉRIMÉE, Chron. règne Charles IX, 1829, p. 118). Venez dire un mot aux sergents du guet. Si vous ne le faites, ils conduiront (...) frère Ange en prison (FRANCE, Rôtisserie, 1893, p. 15).
En partic. [Au Moy. Âge] Sergent (d'armes). ,,Guerrier non chevalier, monté ou non`` (FÉDOU Moy. Âge 1980). Sergent d'armes, sergent à cheval. Homme d'armes fourni par les bonnes villes. (Dict. XXe s.). Sergent de la douzaine. Garde du prévôt de Paris. V. douzaine A 1 ex. de Hugo. Sergent de nuit. Soldat du guet. (Dict. XIXe et XXe s.).
b) [Du XIIe au XIVe s.] Sergent d'armes. Gentilhomme d'armes faisant partie de la garde personnelle du roi et qui était chargé de transmettre ses ordres. Le seigneur de l'Ours était un sergent d'armes du roi, nommé Jean Roche (FRANCE, J. d'Arc, t. 2, 1908, p. 143).
c) Sergent (militaire). Officier ou, à partir du XVIe s., bas-officier. Les sergents étaient de bas-officiers dans l'armée (MARION Instit. 1923).
En partic. Sergent de bandes. Bas-officier chargé de veiller à la discipline des troupes en campagne. V. infra ex. de QUILLET 1965. Sergent (général) de bataille. Officier supérieur dont la fonction était de ranger les troupes en bataille. On appelait alors [au xve s.] sergents de bandes certains bas-officiers chargés de veiller au service, à la police et à la discipline, afin de les distinguer des sergents de bataille, officiers généraux qui avaient pour fonction principale de ranger les troupes en bataille sous les ordres du général en chef (QUILLET 1965). Sergent-major. Officier supérieur occupant des fonctions d'état-major. Au XVIe et au XVIIe siècle, on appelait sergent-major un officier supérieur dont les fonctions étaient analogues à celles de nos Majors (BACH.-DEZ. 1882).
B. — ART MILIT.
1. ARM. DE L'AIR ET DE TERRE. Sous-officier ayant le grade le moins élevé dans l'aviation, l'infanterie et le génie. Sergent de jour, de semaine; galons de sergent; avoir le grade de sergent. Après l'appel, nos sergents nous conduisirent par détachements dans les chambrées (ERCKM.-CHATR., Conscrit 1813, 1864, p. 79). Il y avait dans notre compartiment un jeune sergent d'infanterie qui dormait, la tête sur les genoux de sa mère (GREEN, Journal, 1944, p. 147).
Sergent d'ordinaire. V. ordinaire II B 1.
Loc. verb., vieilli. Sonner au sergent. Appeler les sergents en exécutant la sonnerie appropriée. Un clairon sonne au sergent dans la cour (A. DAUDET, Nabab, 1877, p. 193).
HISTOIRE
Le Roi-Sergent. Le roi de Prusse Frédéric-Guillaume Ier. Frédéric II (...) avait affaibli la centralisation si péniblement réalisée par son père, le Roi-Sergent (LEFEBVRE, Révol. fr., 1963, p. 329).
Les (quatre) sergents de La Rochelle. Les quatre sous-officiers en garnison à La Rochelle qui furent arrêtés et guillotinés à Paris en 1822 pour avoir entretenu des relations avec la société secrète des Carbonari et dont la condamnation à mort souleva une intense émotion dans les milieux libéraux. Avez-vous été en prison? avez-vous conspiré? étiez-vous lié d'amitié avec les sergents de La Rochelle? (SANDEAU, Sacs, 1851, p. 49). Sainte-Beuve le rencontra [Gautier], après 1830, à une procession commémorative pour les quatre sergents de La Rochelle (GONCOURT, Journal, 1863, p. 1282).
2. MAR. Sergent d'armes. Second-maître adjoint à un capitaine d'armes (v. arme II B). Les casiers numérotés que les terribles sergents d'armes venaient fermer avec des chaînettes de fer (LOTI, Mon frère Yves, 1883, p. 378).
C. — Vieilli. Sergent de ville. Gardien de la paix. Un dandy d'estaminet, un de ces farceurs qui font le désespoir des sergents de ville dans les bals champêtres aux barrières (BALZAC, Mais. Nucingen, 1838, p. 639). Les pacifistes avaient dû céder aux mouvements combinés des gardes à cheval et des sergents de ville (MARTIN DU G., Thib., Été 14, 1936, p. 409). V. cogne ex. de Hugo.
II. — MENUIS. Serre-joint. Au fur et à mesure qu'ils sortaient les outils, Venant continuait à les nommer: — Des servantes, une boîte d'onglets, des sergents (GUÈVREMONT, Survenant, 1945, p. 85).
III. — ENTOMOL. Synon. fam. de carabe doré. On l'appelle [le carabe] aussi sergent ou couturière (COUPIN, Animaux de nos pays, 1909, p. 227).
REM. 1. Sergent-, élém. de compos. [entrant dans la constr. de subst. masc. dans le domaine milit.] a) [Le 2e élém. est un subst. désignant un grade milit.] )Sergent(-)chef. (Sergent chef, Sergent-chef) Sous-officier d'un grade immédiatement supérieur à celui de sergent (abrév. chef). Pour le grade de sergent-chef: 2 ans de service comme sergent (LUBRANO-LAVADERA, Législ. et admin. milit., 1954, p. 101). ) Sergent (-)major. (Sergent major, Sergent -major) Sous-officier titulaire du grade compris entre celui de sergent(-)chef et celui d'adjudant, chargé de la comptabilité d'une compagnie. Un père charretier, sorti du service avec les galons de sergent major (ZOLA, Bête hum., 1890, p. 8). Écriture de sergent-major. Écriture soignée. Un carton (...) écrit d'une main appliquée, d'une de ces écritures qu'on nommait autrefois, de « sergent-major » (VIALAR, Hallali, 1953, p. 51). Plume sergent-major. V. plume1 II A 2 a. b) [Le 2e élém. est un subst. désignant une fonction partic.] V. sergent bombardier (s.v. bombardier A 2), sergent(-)fourrier (s.v. fourrier), sergent instructeur (s.v. instructeur B 1) et aussi: ) Sergent comptable. Sergent chargé de la comptabilité de l'unité. Les sergents fourriers et les sergents comptables participent, sous les ordres de l'adjudant, au travail administratif des unités (Lar. encyclop.). ) Sergent(-)infirmier. (Sergent infirmier, Sergent-infirmier) Membre du service de santé, du grade de sergent. C'est le sergent infirmier qui est tombé (BARBUSSE, Feu, 1916, p. 318). ) Sergent maître d'armes, vieilli. Sergent chargé d'enseigner le maniement des armes aux recrues. Les sous-officiers le félicitaient d'avoir dit des vérités. — Il faut dire des vérités, lui répétait le sergent maître d'armes (RENARD, Journal, 1898, p. 507). ) Sergent recruteur, hist. Sergent chargé du recrutement des soldats. Comme autrefois les sergents recruteurs cherchant des conscrits (MAUPASS., Contes et nouv., t. 2, Fermier, 1886, p. 656). P. anal. Allez, ramène-moi tes gens, fais-moi ton petit sergent recruteur! (QUEFFÉLEC, Recteur, 1944, p. 218). 2. Sergenterie, subst. fém., hist. [Sous l'Ancien Régime] a) Office de sergent (supra I A 1 b), p. méton., bureau, résidence du sergent. Sergenterie royale (Ac. 1798-1878). Toutes les paroles qui se prononçaient là [dans une taverne] étaient d'ailleurs répétées à la sergenterie (DRUON, Lois mâles, 1957, p. 286). b) [Notamment en Normandie] (Fief de) sergenterie. Fief dont le détenteur était tenu de faire des exploits pour le compte du seigneur dominant; p. méton., service que devait accomplir le détenteur d'une sergenterie. La sergenterie étant un fief noble, un acquéreur roturier devait en payer le droit de franc-fief (MARION Instit. 1923). 3. Sergot, subst. masc. a) Arg. milit. Sergent (d'infanterie). Il a des sardines de sergot sur sa manche (SAN ANTONIO, Descendez-le à la prochaine, 1975, p. 32). b) Vieilli, fam. Sergent de ville. Pas de sergot très-heureusement. Ce gardien de la paix publique l'aurait, sans doute, arrêtée comme perturbatrice (BLOY, Journal, 1907, p. 346). 4. Serpatte, serre-patte, subst. masc., arg. milit. Sergent (d'infanterie). Avec les Ricains, faut pas trop tirer sur la corde (...). Un des joueurs, un petit serpatte, qui me balance ce conseil tardif (A. BOUDARD, Le Corbillard de Jules, 1979, p. 173).
Prononc. et Orth.:[]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. Ca 1050 sergant « serviteur, homme de confiance employé par un seigneur » (Alexis, éd. Chr. Storey, 117) — XVIe s. ds HUG.; puis rare; spéc. ca 1130 serjant « officier domanial de justice » (Lois G. le Conquérant, éd. J. E. Matzke, § 52, p. 32); subsiste dans le syntagme sergent de ville 1829 (Ordonnance de police ds Le Moniteur Universel, n ° 76, p. 2); 2. ca 1130 « homme de guerre de condition inférieure » (Gormont et Isembart, éd. A. Bayot, 319); ca 1140 serjant « homme de guerre au service d'un autre » (GEFFREI GAIMAR, Hist. des Angl., éd. A. Bell, 695); spéc. 1575 sergent-majour « officier militaire (qui fait ranger les soldats) » (BRANTÔME, Discours sur les couronnels, éd. L. Lalanne, t. 5, p. 299); 3. a) 1549 sergeant « outil de tonnelier » (EST.); b) 1903 plume sergent-major (Nouv. Lar. ill.). Du lat. servientem, acc. de serviens, part. prés. de servire « servir ». Fréq. abs. littér.:1 313. Fréq. rel. littér.:XIXe s.: a) 872, b) 2 961; XXe s.: a) 2 056, b) 2 016. Bbg. DARM. Vie 1932, p. 42. — HOLLYMAN 1957, p. 64, 78, 81. — HOPE (T. E.). Old Fr. sergent, serjant revisited. Fr. St. B. 1984/85, n ° 13, pp. 1-2. — MALKIEL (Y.). The Two Sources of Old Fr. Fr. St. 1984, t. 38, n ° 1, pp. 1-5. — PICHON (E.). « Sergent de ville ». Fr. mod. 1939, t. 7, p. 349. — QUEM. DDL t. 15 (s.v. sergent de bataille), 21 (s.v. sergent de bande). — SCOONES (St.). Les Noms de qq. officiers féod.: des orig. à la fin du 12e s. Paris, 1976, p. 10, 19, 21.

sergent [sɛʀʒɑ̃] n. m.
ÉTYM. Déb. XIIIe; serjant, 1050, saint Alexis; du lat. servientem, accusatif de serviens, p. prés. de servire, au sens de « être de service, au service de… »; a signifié « serviteur domestique » (auxiliaire, militaire, artisan, etc.) avec un rang supérieur au « valet », dans la hiérarchie.
———
I
1 Vx ou hist. Officier de justice chargé des poursuites, saisies, etc. ( Huissier). || Sergent à verge, qui avait le droit de vendre les biens saisis. || Sergent royal, qui appartenait à une juridiction royale. || Sergent fieffé, qui agissait au nom du seigneur. (1690). || Sergent de querelle, qui assistait aux duels. || Sergent des tailles, qui percevait l'impôt.Sergent de justice (→ Haut-de-chausses, cit. 2). || Tirer qqn de la main des sergents (→ Excusable, cit. 5).
1 Oui, vous êtes sergent, Monsieur, et très sergent.
Touchez là. Vos pareils sont gens que je révère (…)
Racine, les Plaideurs, II, 4 (→ aussi Nourrir, cit. 2).
(1829). Vieilli. || Sergent de ville : agent de police; gardien de la paix (→ Noce, cit. 5; obtenir, cit. 2; poivrot, cit.). || Escouade (cit. 2) de sergents de ville. Sergot (vx); constable (anglais).
2 Comme aussi les sergents de ville :
J'avais une estime pour eux !
Protecteurs de la paix civile,
De l'ordre gardiens valeureux (…)
Verlaine, Invectives, XLV.
2 a Au moyen âge, Soldat (sergents d'armes, de pied…), officier.(1534). || Sergent de bataille : officier commandant environ 150 hommes (sergent-major). Vx. Bas officier instructeur.
b Mod. Le grade le plus bas, dans la hiérarchie des sous-officiers d'infanterie, du génie, d'aviation… (correspond au maréchal des logis). → Galon, cit. 4. || Sergent instructeur. || Sergent-fourrier.Anciennt ou fig. || Sergent racoleur (cit. 2), recruteur.
3 Soldat de fortune, il avait porté le sac, caporal en Afrique, sergent à Sébastopol, lieutenant après Solférino (…)
Zola, la Débâcle, I, I.
|| Sergent-chef : sous-officier d'un grade immédiatement supérieur à celui de sergent (inférieur à adjudant). || On s'adresse au sergent-chef en disant « chef ».(1798; « sergent de bataille », 1587). || Sergent-major : sous-officier (intermédiaire entre sergent-chef et adjudant), chargé de la comptabilité d'une compagnie. || Sergent-fourrier assistant le sergent-major.
Plume sergent-major : plume métallique (marque commerciale, ce type de plume ayant été utilisé dans l'administration militaire, avant de l'être dans les écoles).N. f. || Une sergent-major.
4 Ou bien, elle écrit une dictée le doigt crispé sur la sergent-major.
Geneviève Dormann, la Passion selon saint Jules, p. 205.
5 (…) ces plumes sergent-major dont plus personne ne se sert.
Philippe Bernert, S. D. E. C. E. Service 7, p. 250.
———
II (1549; même métaphore que valet, probablt avec influence de serre-joint). Menuis. Presse à vis dont se sert le menuisier pour tenir serrées des pièces à assembler. Syn. : serre-joint.
DÉR. Sergot.

Encyclopédie Universelle. 2012.