compagnon [ kɔ̃paɲɔ̃ ] n. m.
• cumpainz 1080; lat. pop. °companio, onis « qui mange son pain avec » → copain
1 ♦ Vieilli ou littér. Personne (souvent, homme) qui partage habituellement ou occasionnellement la vie, les occupations d'autres personnes (par rapport à elles). ⇒ camarade, copain. Compagnon de table (⇒ commensal) , d'études (⇒ condisciple) , de jeu (⇒ partenaire) , de travail (⇒ collègue) , de voyage, d'exil. Compagnon d'armes. Les Compagnons de la Libération. — Polit. Compagnon de route (d'un parti) :sympathisant actif. — Vieilli Un joyeux compagnon. ⇒ 1. drille, luron. — De pair à compagnon. ⇒ 1. pair. — Par ext. Celui qui partage les sentiments, l'idéal d'une autre personne, qui a subi les mêmes épreuves. ⇒ ami. Compagnon d'infortune. ⇒ frère. (D'un animal de compagnie) Son chien, son vieux compagnon.
2 ♦ Par ext. (Mod.) Homme ou animal mâle d'un couple, par rapport à la femme ou à la femelle. Le compagnon d'une femme. ⇒ ami. Spécialt Concubin.
♢ Il faut un compagnon à cet oiseau.
3 ♦ Anciennt Celui qui n'était plus apprenti et n'était pas encore maître, dans une corporation. ⇒ artisan. Les compagnons du Tour de France. Apprenti reçu compagnon après avoir présenté son chef-d'œuvre. Mod. Ouvrier qualifié dans certaines professions artisanales.
4 ♦ Degré de dignité dans la franc-maçonnerie.
5 ♦ Scout âgé de 18 à 21 ans, engagé dans un projet à but humanitaire.
● compagnon nom masculin (latin populaire companio, -onis, classique panis, pain) Celui qui accompagne quelqu'un : Compagnon de voyage. Celui qui vit ordinairement auprès de quelqu'un, qui partage ses occupations : Compagnon de captivité. Celui qui partage les mêmes joies, les mêmes peines, le même idéal que quelqu'un d'autre : Compagnon d'infortune. Celui qui partage la vie de quelqu'un comme époux ou comme concubin. Dans certains métiers, ouvrier qui a terminé son apprentissage et qui travaille pour le compte d'un maître avant de devenir maître lui-même. Animal domestique qui vit auprès de quelqu'un. Astronomie Composante d'éclat le plus faible dans un système stellaire double. ● compagnon (expressions) nom masculin (latin populaire companio, -onis, classique panis, pain) Compagnon de route, personne qui, sans être membre d'un parti communiste, en adopte les principes. Compagnon blanc, compagnon rouge, noms usuels de deux lychnis. Compagnon de la Libération, membre de l'ordre de la Libération. ● compagnon (synonymes) nom masculin (latin populaire companio, -onis, classique panis, pain) Celui qui vit ordinairement auprès de quelqu'un, qui partage ses...
Synonymes :
- ami
- camarade
- collègue
- copain (populaire)
- familier
Celui qui partage la vie de quelqu'un comme époux ou...
Synonymes :
- (petit) ami
compagnon
n. m.
d1./d Celui qui partage, habituellement ou pour un temps déterminé, les occupations ou la vie de qqn.
— Amant, concubin, mari.
|| Animal familier. Le chien est un fidèle compagnon de l'homme.
d2./d Ouvrier qui travaille pour le compte d'un maître.
|| Anc. Artisan qui, dans une corporation, n'était plus apprenti et pas encore maître.
d3./d Grade dans la franc-maçonnerie.
⇒COMPAGNON, subst. masc.
I.— Usuel
A.— 1. Celui qui partage les occupations, les aventures, le sort d'une autre personne. Les compagnons d'Ulysse. Un vieux domestique, son compagnon d'émigration et de malheur (LAMARTINE, Nouvelles confidences, 1851, p. 96). Il se recordait des aventures de ce franciscain que ses compagnons laissèrent, un jour, seul, dans le couvent (HUYSMANS, En route, t. 2, 1895, p. 162). Je retrouvais mes compagnons des jours anciens, taciturnes témoins d'une vie aventureuse (MILOSZ, L'Amoureuse initiation, 1910, p. 179) :
• 1. Derrière la masse des promeneurs dominicaux qu'il dominait pourtant de sa haute taille, (...) il n'apercevait même plus ses compagnons de peine, ni les chômeurs que la mi-août n'épargnait pas.
PEYRÉ, Matterhorn, 1939, p. 175.
SYNT. Compagnon d'exil, de captivité, d'infortune; compagnons de jeux, de table, de travail; ancien, vieux compagnon.
♦ Rare [En parlant d'une femme] Elisa, tu es ma femme!... tu me suivras, tu seras mon compagnon, tu partageras toutes mes fortunes (MÉRIMÉE, Théâtre de Clara Gazul, 1825, p. 112).
a) Spécialement
— Compagnons d'armes. Ceux qui ont fait la guerre ensemble. C'est dans le cours de cette controverse et de cette guerre contre les ennemis communs que se formèrent de vrais liens de compagnons d'armes entre Bossuet et les principaux chefs jansénistes (SAINTE-BEUVE, Port-Royal, t. 4, 1859, p. 348).
— Compagnons de la Résistance, compagnons de la Libération.
b) Celui qui accompagne quelqu'un. Un compagnon de route; des compagnons de traversée. Elle se plongea dans sa lecture ou, du moins, fit semblant, car, à la dérobée, elle examinait son compagnon de voyage (DANIEL-ROPS, Mort, où est ta victoire? 1934, p. 148).
2. P. ext.
a) Fam. [avec un affaiblissement de sens] Un bon, un joyeux compagnon. Un joyeux compère, un brave gars. Prendre une chose en bon compagnon.
— Péj. Un petit compagnon. Un homme de basse origine :
• 2. Les intendants étaient à ses yeux [le plus pauvre gentilhomme] les représentants d'un pouvoir intrus, des hommes nouveaux, préposés au gouvernement des bourgeois et des paysans, et, au demeurant, de fort petits compagnons.
TOCQUEVILLE, L'Ancien Régime et la Révolution, 1856, p. 103.
b) Vieilli. Égal, camarade :
• 3. Le trisaïeul de son trisaïeul était l'égal, le compagnon, le pair du roi; à ce titre, il [le courtisan] est lui-même d'une classe privilégiée, celle des gentilshommes...
TAINE, Philos. de l'art, t. 1, 1865, p. 86.
— Locutions
♦ Il ne peut souffrir ni compagnon ni maître (Ac.).
♦ (Vivre) en compagnon. ,,Sans cérémonie et comme il convient entre camarades`` (LITTRÉ).
♦ Vivre de pair à compagnon (cf. TAINE, Philos. de l'art, t. 2, 1865, p. 61). Traiter, parler de pair à compagnon. D'égal à égal :
• 4. ... pourquoi, ayant remarqué que l'amabilité, le côté plain-pied, « pair à compagnon » de l'aristocratie était une comédie, m'étonnais-je d'en être excepté?
PROUST, La Fugitive, 1922, p. 662.
3. Au fig. [Désigne une entité abstr. du genre masc.] Ce qui va (de pair) avec. Un esprit tortu, mais compagnon d'un cœur droit et indigné (P.-A. DE BEAUMARCHAIS, Mémoires, t. 1, 1774-89, p. 365).
B.— 1. Celui qui se tient auprès d'une autre personne et lui porte aide ou consolation. Un compagnon fidèle. Ce n'était pas seulement un instituteur pour mon fils, c'était un compagnon, un frère aîné, presque une mère (G. SAND, Histoire de ma vie, t. 4, 1855, p. 50) :
• 5. Mais Christophe ignorait la naïve affection, qui de loin veillait sur lui, et qui devait plus tard tenir tant de place dans sa vie. Et il ignorait aussi qu'à ce même concert, où il avait été insulté, assistait celui qui allait être l'ami, le cher compagnon, qui devait marcher auprès de lui, côte à côte, et la main dans la main.
R. ROLLAND, Jean-Christophe, La Foire sur la place, 1908, p. 789.
— P. métaph. [Désigne une chose du genre masc., le plus souvent un obj. concr.] Mes livres, les compagnons de ma vie (MICHELET, L'Oiseau, 1856, p. XXXV). Le poste récepteur de T.S.F. si modeste soit-il est devenu le compagnon coutumier d'un très grand nombre de foyers (Vocabulaire radiophonique [1933-52]).
2. Spéc. Celui qui passe sa vie auprès d'une femme. Le compagnon de sa vie :
• 6. Mère se retourna, toute raide, et considéra longuement ce compagnon extraordinaire, l'homme de sa vie, l'homme dont elle était devenue, pour toujours, l'ombre fidèle.
G. DUHAMEL, Chronique des Pasquier, Le Notaire du Havre, 1933, p. 233.
3.— P. anal. [Désigne un animal qui tient compagnie à l'homme] :
• 7. Mon troisième chien s'attacha à moi avec une vraie passion, et fut mon compagnon fidèle dans les pérégrinations que j'entrepris bientôt après.
CONSTANT, Le Cahier rouge, 1830, p. 57.
II.— Spécialement
A.— Vx. Ouvrier qui a fini son apprentissage mais n'est pas encore maître, et travaille encore pour le compte d'un maître. Il était compagnon chez monsieur Frappier, le premier menuisier de Provins (BALZAC, Pierrette, 1840, p. 88). Ils [la plupart des révolutionnaires] ressemblent au compagnon qui va d'auberge en auberge, d'atelier en atelier... se perfectionnant dans son état (PROUDHON, La Révolution soc. démontrée par le coup d'État du 2 déc., 1852, p. 30) :
• 8. Là, s'il vous plaît, le cri qui retentit dans la forge quand le fer est chaud et qu'on appelle les compagnons pour le battre.
A. DAUDET, Jack, t. 2, 1876, p. 38.
♦ Société de compagnons :
• 9. ... ces architectes des cathédrales étaient des nomades. Ils allaient bâtir de ville en ville... Ces ouvriers et leurs chefs ou contremaîtres se formaient en sociétés de compagnons, qui se transmettaient leurs procédés de coupe de pierre et d'appareillage, de charpente ou de serrurerie. Mais nul document écrit ne nous est parvenu sur ces techniques.
VALÉRY, Regards sur le monde actuel, 1931, p. 238.
— Expr. fam. Travailler à dépêche compagnon. Travailler vite et mal. Se battre à dépêche compagnon. Se battre à l'aveuglette, ou ,,se battre à outrance sans dessein de s'épargner`` (Ac. 1878).
B.— Vx. Ouvrier, artisan, qui fait partie d'une société de gens de métier. Vous êtes, dit Pierre Huguenin [à Jean Sauvage] tailleur de pierres, compagnon passant (G. SAND, Le Compagnon du Tour de France, 1840, p. 64) :
• 10. Mon oncle Joseph, ... est un paysan qui s'est fait ouvrier...
Il est compagnon du devoir, il a une grande canne avec de longs rubans, et il m'emmène quelquefois chez la Mère des menuisiers.
J. VALLÈS, Jacques Vingtras, L'Enfant, 1879, p. 18.
— La mère des compagnons. ,,Femme chargée d'héberger, aux frais d'une société de compagnons, les membres de cette société qui se trouvent momentanément sans ouvrage`` (Ac. 1835, 1878).
C.— Franc-maçon d'un grade immédiatement supérieur à celui d'apprenti.
Prononc. et Orth. :[]. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. 1. Ca 1100 cas suj. cumpainz « celui qui vit habituellement avec quelqu'un » (Roland, éd. J. Bédier, vers 324); cas régime cumpaignun (ibid., vers 1020); 2. 1549 p. ext. compaignon « celui qui accompagne quelqu'un » (EST.); 3. 1455 spéc. « ouvrier qui a terminé son apprentissage » (Archives du Nord, B 1686, fol. 51 v° ds IGLF); 4. 1866 « grade dans la franc-maçonnerie » (Lar. 19e). Du b. lat. companio (d'où compain, cas suj.), companione(m) (d'où compagnon, cas régime), formé du lat. cum « avec » (préf. con-) et de panis (pain), attesté dans la Loi Salique (éd. Eckhart, I, 99), calque d'un mot germ. du type du got. gahlaiba « compagnon » litt. : « celui qui partage le pain avec » (W. KRAUSE, Handbuch des Gotischen, Munich, 1963, §§ 50, 2 et 137, 1; FEIST, s.v. ga-hlaiba; Velten ds Journ. engl. germ. phil., t. 29, p. 345), formé du got. ga-, particule inséparable « avec » et hlaifs subst. masc. « pain » (cf. a. h. all. ga-leipo « sodalis » attesté aux VIIIe-IXe s. ds GRAFF t. 4, s.v. hlaib), terme milit. apporté par les Germains des armées du Bas Empire; a prob. coexisté à l'origine avec contubernalis « camarade de tente » qui a peut-être favorisé le procédé du calque avec com-initial. Fréq. abs. littér. :4 690. Fréq. rel. littér. :XIXe s. : a) 6 762, b) 10 407; XXe s. : a) 5 626, b) 5 215.
DÉR. Compagnonner, verbe intrans. Avoir (quelqu'un) pour compagnon, vivre en compagnons (avec quelqu'un). Le plus souvent, il [Anatole] était nourri par un camarade de l'atelier, avec lequel il compagnonnait (E. et J. DE GONCOURT, Manette Salomon, 1867, p. 69). Au temps où il compagnonnait avec les hobereaux, il avait participé à ces spacieux soupers (HUYSMANS, À rebours, 1884, p. 9). — []. — 1res attest. 1611 (COTGR.), attest. isolée; à nouv. en 1867 (E. et J. DE GONCOURT, loc. cit.); de compagnon, dés. -er. — Fréq. abs. littér. : 1.
BBG. — GOUG. Mots t. 1 1962, p. 25.
compagnon [kɔ̃paɲɔ̃] n. m.
ÉTYM. 1080, cumpainz; lat. pop. companio, -onis « qui mange son pain (panis) avec (cum) ». → Copain.
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1 (Vieilli ou littér.). Homme, garçon qui partage habituellement ou occasionnellement la vie, les occupations d'autres personnes, par rapport à elles. ⇒ Camarade, copain. || Compagnon de table (⇒ Commensal), de chambrée (→ Pousser, cit. 64), d'études (⇒ Condisciple), de jeu (⇒ Partenaire), de travail (⇒ Collègue), d'exil. || Compagnon d'armes. || Les Compagnons de la Libération.
1 Mieux vaut vivre à deux que solitaire; il y a pour les deux un bon salaire dans leur travail; car s'ils tombent, l'un peut relever son compagnon. Mais malheur à celui qui est seul, et qui tombe sans avoir un second pour le relever !
Bible (Crampon), l'Ecclésiaste, IV, 9-10.
2 Nourris ensemble, et compagnons d'école.
La Fontaine, Fables, X, 11.
3 On peut trouver un compagnon, mais non pas un ami fidèle.
Loti, Aziyadé, Solitude, XXIII, p. 64.
♦ Polit. || Compagnon de route (d'un parti) : sympathisant actif. || Les compagnons de route du Parti communiste.
♦ ☑ Vieilli. Un joyeux, un franc compagnon : un homme plein d'entrain. ⇒ Gaillard. ☑ Un hardi compagnon : un homme audacieux et énergique.
♦ ☑ De pair à compagnon : sur un pied d'égalité.
4 Rien n'égalise comme l'épée. Sous l'ancienne monarchie, les rois anoblissaient les hommes qui leur apprenaient à la tenir (…) Ces gentilshommes de province qui sentaient encore à plein nez leur monarchie, furent en peu de temps de pair à compagnon avec le vieux prévôt (d'armes), comme s'il eût été l'un des leurs.
Barbey d'Aurevilly, les Diaboliques, « Le bonheur dans le crime ».
5 (…) ce franciscain que ses compagnons laissèrent un jour, seul dans le couvent.
Huysmans, En route, II, p. 162.
♦ Spécialt. Celui qui accompagne qqn dans un déplacement. || Compagnon de voyage.
2 (1568). || Compagnon de… (et nom psychologique) : celui qui partage les sentiments, l'idéal d'une autre personne, qui a subi les mêmes épreuves. ⇒ Ami; compagne. || Compagnon, frère d'infortune.
6 (…) il n'apercevait même plus ces compagnons de peine, ni les chômeurs que la mi-août n'épargnait pas.
Joseph Peyré, Matterhorn, p. 175, in T. L. F.
♦ (V. 1535; choses désignables par un n. m.; → aussi Compagne). Ce qui va de pair avec (qqch.); ce qui est la consolation de (qqn).
7 Mes livres, les compagnons de ma vie.
Michelet, l'Oiseau, Préf., p. XXV.
3 Vieilli. Mari; amant (compagne, 2., reste plus vivant dans ce sens, sauf quand il s'agit d'un couple homosexuel masculin).
4 (1691). Littér. Le mâle, dans un couple d'animaux. || Il faut un compagnon à cet oiseau.
5 (1455). Anciennt. Celui qui n'était plus apprenti (« aspirant ») et n'était pas, ou pas encore, maître. ⇒ Artisan; et aussi alloué (1.). || Les Compagnons du Tour de France (titre d'un roman de George Sand). || Aspirant reçu compagnon après avoir présenté son chef-d'œuvre. || Boucles d'oreilles des anciens compagnons. ⇒ Joint. || Cérémonie d'adieu à un compagnon quittant une ville du Tour de France. ⇒ Conduite. || Compagnons du Devoir. ⇒ 2. Devoir, III.
8 Mon oncle Joseph (…) est un paysan qui s'est fait ouvrier (…) Il est compagnon du devoir, il a une grande canne avec de longs rubans, et il m'emmène quelquefois chez la Mère des menuisiers (l'hôtesse qui héberge les compagnons).
J. Vallès, Jacques Vingtras (L'Enfant), 1879; S.l.n.d., p. 18.
9 Tous ces artisans qui franchissent, s'ils valent, les trois degrés d'apprentis, de compagnons, de maîtres, s'affinent dans leurs états, se muent en de véritables artistes.
Huysmans, Là-bas, VIII, p. 120.
10 (…) ces règlements de corporations qui exigeaient du compagnon, anxieux de devenir maître, l'épreuve d'un ouvrage dans lequel toutes les difficultés fussent affrontées et surmontées, toutes les conventions satisfaites, et qui pût enfin prendre place parmi les modèles de l'art.
Valéry, Regards sur le monde actuel, Les lettres françaises, p. 279.
♦ Mod. Ouvrier qualifié, dans certaines professions artisanales.
♦ Titre correspondant au deuxième degré de dignité dans la franc-maçonnerie.
6 Scout âgé de 18 à 21 ans, engagé dans un projet à but humanitaire.
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DÉR. Compagnonnage, compagnonne, compagnonnique. — V. aussi les dérivés de compain (autrefois cas sujet de compagnon) accompagner, compagne, copain.
Encyclopédie Universelle. 2012.