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immobile

immobile [ i(m)mɔbil ] adj.
• 1370; immoble XIIIe; lat. immobilis
1Qui ne se déplace pas. 1. fixe. Rester, se tenir immobile. Immobile comme une souche, une statue. « la terreur le cloue immobile » (R. Rolland). Immobile et frappé de stupeur. cloué, figé, paralysé, pétrifié.
(Choses) Que rien ne meut, n'agite. Mer immobile. 1. plat . Eau immobile. dormant, stagnant. « En plein midi, l'été, quand les champs, les jardins, les bois sont immobiles de chaleur » (Toulet). Le train est immobile depuis dix minutes, à l'arrêt.
Spécialt Qui, par nature, ne se meut pas; non mobile. On croyait la terre immobile.
2(Abstrait) Fixé une fois pour toutes, définitivement figé. invariable. Dogmes immobiles.
⊗ CONTR. Mobile.

immobile adjectif (latin immobilis) Qui ne se meut pas, ne fait aucun mouvement, n'est animé d'aucun mouvement : Rester immobile en retenant son souffle. La surface immobile de l'eau.immobile (synonymes) adjectif (latin immobilis) Qui ne se meut pas, ne fait aucun mouvement, n'est...
Synonymes :
- figé
- fixe
- glacé
- médusé
- paralysé
- pétrifié
- sidéré
- stagnant
Contraires :
- agité
- déchaîné
- furieux
- houleux
- mobile
- mouvant
- tumultueux

immobile
adj. Qui ne se meut pas, ne se déplace pas; fixe. Immobile comme une statue. Rester immobile.

⇒IMMOBILE, adj.
A. — Qui ne se meut pas.
1. [En parlant d'un animé ou d'une partie du corps]
a) Qui ne fait aucun mouvement, qui cesse de se mouvoir. Main, tête immobile; demeurer, rester, se tenir immobile; immobile comme un cadavre, une souche, une statue. Rocambole, tenu immobile sous le genou de Guignon, qui le menaçait de la pointe du couteau (PONSON DU TERR., Rocambole, t. 1, 1859, p. 561). Les paons immobiles cuisent au soleil sur la pelouse de velours vert (MAUROIS, Disraëli, 1927, p. 328). Dans l'autre lit (...) un grand corps immobile insensible et chaud (COLETTE, Seconde, 1929, p. 105).
En partic. Qui demeure sans bouger, sous l'effet d'une émotion violente. Synon. interdit, médusé, paralysé, pétrifié. Le vieillard resta quelques instants immobile et comme foudroyé, sans pouvoir parler ni respirer, comme si un poing fermé lui serrait le gosier (HUGO, Misér., t. 2, 1862, p. 254). La terreur le cloue immobile, les yeux, la bouche ouverts, soufflant du fond de la gorge (ROLLAND, J.-Chr., Aube, 1904, p. 4) :
1. Malek Adhel, frappé d'une effroyable surprise, demeure immobile et éperdu : une sueur froide coule sur tous ses membres; il promène autour de lui des regards menaçans, terribles et désespérés...
COTTIN, Mathilde, t. 2, 1805, p. 282.
Immobile de + subst. Il le fixe, immobile d'étonnement, ensuite l'approche lentement (LA MARTELIÈRE, Robert, 1793, V, 4, p. 62).
b) [En parlant du visage, du regard, du sourire] Figé dans une attitude, dans une expression. Synon. atone, inexpressif. Un sourire si éternellement immobile qu'il semblait peint sur ses lèvres (MIRBEAU, Journal femme ch., 1900, p. 200). L'enfant divin dont les yeux immobiles entre les paupières vous regardent avec indifférence (CLAUDEL, Protée, 1927, II, 2, p. 388). Le visage de Cécile est ordinairement immobile, impassible, comme celui d'une statue (DUHAMEL, Cécile, 1938, p. 223) :
2. ... ses traits étaient immobiles comme ceux d'un aveugle. Seulement, quand il entendait une saillie ou un trait comique, son visage s'épanouissait...
BRILLAT-SAV., Physiol. goût, 1825, p. 319.
c) Spécialement
ART VÉTÉR. [En parlant d'un cheval] Qui est atteint d'immobilité. Une grosse difficulté, dans l'expertise, surgit lorsqu'on se trouve en présence d'un cheval suspect d'être immobile, et qui a contracté une encéphalite aiguë (BRION, Jurispr. vétér., 1943, p. 239).
PHILOS. (aristotélicienne). Synon. divin, de Dieu. Le moteur immobile. Dieu. On constate que certains êtres se meuvent; puis on montre l'impossibilité de la régression à l'infini dans une série de moteurs sans un être hors de la série qui échappe à la loi de détermination du mouvement; et l'on conclut à l'existence d'un premier moteur immobile (Théol. cath. t. 4, 1, 1920, p. 942) :
3. Chez le philosophe grec [Aristote], les choses se meuvent aussi pour acquérir leur substantialité propre et imiter en cela la perfection divine des moteurs immobiles.
GILSON, Espr. philos. médiév., 1931, p. 149.
2. [En parlant d'une chose]
a) Qui n'est pas agité ou mis en mouvement. Branches immobiles.
Domaine atmosphérique. Sans mouvement. Air, brouillard, chaleur immobile. Les nuages immobiles et lourds d'un ciel de maître hollandais (MAUROIS, Silences Bramble, 1918, p. 16).
[En parlant d'un véhicule] Synon. à l'arrêt. Voiture immobile :
4. ... des trains filaient dans l'ombre croissante, parmi l'inextricable lacis des rails, au milieu des files de wagons immobiles, stationnant sur les voies d'attente.
ZOLA, Bête hum., 1890, p. 24.
b) En partic. Qui, par nature, ne peut se mouvoir. Arbre, cellule immobile. Dans les animaux qui suivent, le cubitus n'est plus qu'un appendice immobile du radius (CUVIER, Anat. comp., t. 1, 1805, p. 287) :
5. ... les végétaux fixés sur leur racine immobile épandent leurs amours intérieurs vers une existence ailée, et se recommandent aux vents, aux flots, aux insectes, pour les faire vivre au dehors, leur donner le vol que leur refusa la nature.
MICHELET, Oiseau, 1856, p. 24.
c) Rare, emploi subst. à valeur de neutre. Fait d'être immobile, de ne pas remuer. Transporter à la course même de la flèche tout ce qui peut se dire de l'intervalle qu'elle a parcouru, c'est-à-dire admettre a priori cette absurdité que le mouvement coïncide avec l'immobile (BERGSON, Évol. créatr., 1907, p. 309).
B. — Au fig.
1. [En parlant d'une pers.] Qui reste inactif, passif :
6. ... et nous nous désolions de voir les personnes que nous aimions souffrir et mourir. Et notre erreur était de nous arrêter ainsi dans la vie, et, restant immobiles, de regarder couler toutes choses...
SCHWOB, Monelle, 1894, p. 152.
2. a) [En parlant d'une pers.] Qui n'évolue pas, ne change pas. Synon. invariable. Les chrétiens du monde sont immobiles et contents d'eux-mêmes. Les autres, en petit nombre, sont des torrents jamais satisfaits (BLOY, Journal, 1907, p. 336).
Immobile dans + subst. Un peuple religieux, esclave, dominé par le mystère, immobile dans ses idées, plein de foi dans l'immortalité de la vie (Ch. BLANC, Gramm. arts dessin, 1876, p. 12). Elle est restée immobile dans sa douleur depuis le jour où son mari l'a quittée (VALLÈS, J. Vingtras, Bachel., 1881, p. 345).
b) [En parlant d'un inanimé] Fixé une fois pour toutes, définitivement figé. Synon. stagnant. Dogme immobile. Voilà ce que c'est que les législations immobiles! Elles consacrent les barbaries séculaires, et donnent le droit d'antiquité et de légitimité à tous les crimes (LAMART., Voy. Orient, t. 2, 1835, p. 407). Quelque jour, au milieu de votre vie stagnante et immobile, il peut passer un coup de vent (MUSSET, Confess. enf. s., 1836, p. 88) :
7. ... nous allons au pays de l'enfance immobile, immobile comme l'immémorial. Nous visons des fixations, des fixations de bonheur. Nous nous réconfortons en revivant des souvenirs de protection.
BACHELARD, Poét. espace, 1957, p. 25.
c) Emploi subst. masc. Ce qui ne change pas, n'évolue pas. Synon. invariable, permanent. C'était un sentiment tout nouveau chez Pauline, cet accord avec l'immobile, le présent, ce désir que tout restât pareil autour d'elle (CHARDONNE, Dest. sent. I, 1934, p. 196).
3. [En parlant d'une pers.] Qui reste inébranlable, insensible. À cette nouvelle, loin de s'affliger, il est resté calme et immobile (Ac.).
Immobile sous + subst. La jeune chrétienne, immobile sous l'outrage, déjà hors du monde, récite mécaniquement quelques vers glacés et purs (BRASILLACH, Corneille, 1938, p. 252).
Immobile à (vx). Insensible à, inébranlable à. Dieu, selon lui [Malebranche] étant sa propre fin à lui-même, ne peut se complaire qu'en soi, et il demeure immobile (...) à la chute de l'homme, c'est-à-dire à la naissance du mal (COUSIN, Hist. gén. philos., 1861, p. 458).
Prononc. et Orth. : [im(m)]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1370-72 « qui ne bouge pas, fixe » (ORESME, Ethiques, éd. A.D. Menut, livre V, chap. 15, 104a, p. 304). Empr. au lat. immobilis « qui ne bouge pas », « inébranlable », dér. de mobilis, v. mobile, préf. in-1; cf. la forme immoble (XIIIe s. ds T.-L.). Fréq. abs. littér. : 5 776. Fréq. rel. littér. : XIXe s. : a) 5 850, b) 8 105; XXe s. : a) 10 609, b) 8 849.
DÉR. Immobilement, adv., rare et littér. Sans mouvement (apparent). [Le rôle d'Oreste dans Andromaque, rendu par] cette face immobilement horrible d'où sortait un monotone ronflement (RICHEPIN, Braves gens, 1886, p. 57). Sur l'eau, la libellule bleue vibre immobilement près d'un jonc coupé en deux (JAMMES, De l'angélus, 1898, p. 125). Mon avion immobilement suspendu, où le mouvement s'abolit (ARNOUX, Zulma, 1960, p. 185). [im(m)]. XVe s. (Ovide moralisé, Commentaire de Copenhague, éd. C. de Boer, t. 5, p. 426); de immobile, suff. -ment2.

immobile [i(m)mɔbil] adj.
ÉTYM. V. 1361; immobil, n. m., v. 1265; lat. immobilis, de im- (→ 1. In-), et mobilis. → Mobile.
1 Qui ne se déplace pas, reste en un même lieu. Fixe. a (En parlant des êtres vivants ou de parties de leur corps). || Rester, demeurer, se tenir immobile (→ Acuité, cit. 1; armoirie, cit. 2; cylindre, cit. 2; hancher, cit. 1). || Il restait complètement immobile, planté comme un piquet (une borne, un terme [vx]), sans remuer ni pied ni patte, sans bouger d'une semelle. Place (sur), repos (en). || Ne bougez pas, restez parfaitement immobile. || Être, rester immobile comme un cadavre, comme une souche. || Être immobile comme une statue. Hiératique (fig.). || Rester immobile sous l'effet du froid. Engourdi (→ Amortir, cit. 1; frissonner, cit. 1). || Corps immobile dans le sommeil, la paralysie, l'extase (cit. 1), la mort. Gisant, inanimé, inerte (→ Frapper, cit. 24). || Animal en danger qui se tient immobile. Mort (faire le). || En apparence immobile (→ Blinder, cit. 2; fourmillement, cit. 1). || Immobile et impotent.Qui n'avance pas (mais peut bouger). || Troupe immobile, qui marque le pas, qui piétine sur place.Visage immobile (→ Apercevoir, cit. 22; 1. fumer, cit. 27). Pierre (de).Philos. || Dieu, le moteur immobile (Aristote).
1 L'insolent devant moi ne se courba jamais (…)Lorsque d'un saint respect tous les Persans touchésN'osent lever leurs fronts à la terre attachés,Lui, fièrement assis, et la tête immobile (…)
Racine, Esther, II, 1.
2 Ils avaient jeté les yeux sur le Cardinal qui demeurait immobile comme une statue équestre (…)
A. de Vigny, Cinq-Mars, X.
3 Tous les paysans avaient écouté, le visage immobile, sans qu'un pli indiquât leur pensée secrète.
Zola, la Terre, IV, V.
4 Elle baissa le visage sur cette main qui tenait la sienne. Et elle appuya sa bouche, ne la bougea plus, lèvres immobiles, lèvres immobiles, ne baisant pas.
Montherlant, le Songe, I, VIII.
5 Marie-Louise demeurait presque parfaitement immobile, sa poitrine était à peine émue par sa respiration, ses paupières battaient à de très longs intervalles malgré le grand ciel blanc, et ses yeux de pierre bougeaient faiblement (…)
P. Nizan, le Cheval de Troie, p. 31.
Par ext. (Personnes). Qui ne se déplace pas. Sédentaire.Qui bouge peu, n'agit pas. Inactif, passif. || Rester immobile dans le malheur.
5.1 (…) notre erreur était de nous arrêter ainsi dans la vie, et, restant immobiles, de regarder couler toutes choses (…)
Marcel Schwob, Monelle, p. 152, in T. L. F.
(1636, Corneille). Qui reste sans mouvement, notamment sous l'effet d'une émotion violente; qui est saisi d'étonnement, de peur, d'admiration… Cloué, figé, médusé, paralysé, pétrifié, sidéré (→ Battre, cit. 60). || Immobile et frappé (cit. 37) de stupeur. Stupéfait, stupéfié, stupide. || Interdit, immobile, muet. || Il restait immobile, n'osant faire un mouvement, remuer le petit doigt.
6 Je demeure immobile, et mon âme abattueCède au coup qui me tue.
Corneille, le Cid, I, 6.
7 Je restais immobile et stupide, sans pouvoir agir ni penser.
Rousseau, les Confessions, IX.
8 Il n'a pas la force de crier; la terreur le cloue immobile, les yeux, la bouche ouverte, soufflant du fond de la gorge.
R. Rolland, Jean-Christophe, L'aube, p. 4.
b (Choses). Que rien ne fait mouvoir, n'agite. || Brouillard, air immobile (→ Brancher, cit. 1; chaleur, cit. 3). || Mer, lac, onde immobile (→ Cascade, cit. 4; embarcation, cit. 2; étoile, cit. 10; fatiguer, cit. 6). || L'eau immobile d'une mare. Croupi, croupissant, dormant, stagnant. || Branches qui pendent immobiles (→ Gris, cit. 8). || Aérostat maintenu immobile (→ Fanfreluche, cit.).
9 (…) une atmosphère tellement immobile que le mouvement de la marche n'y produisait pas le plus petit souffle d'air.
E. Fromentin, Un été dans le Sahara, p. 41.
10 (…) ce rideau, d'une forte étoffe de soie croisée, que j'avais ôté de sa patère et qui tombait devant la fenêtre, perpendiculaire et immobile.
Barbey d'Aurevilly, les Diaboliques, « Le rideau cramoisi ».
11 Tes yeux sont comme des lys d'eau bleus sans tiges, immobiles sur des étangs.
Pierre Louÿs, Aphrodite, p. 23.
12 Des voiles blanches comme des papillons seraient posées sur l'eau immobile, sans plus vouloir bouger, comme pâmées de chaleur.
Proust, les Plaisirs et les Jours, p. 237.
13 En plein midi, l'été, quand les champs, les jardins, les bois, sont immobiles de chaleur; et que rien n'est en vie, rien que la source dans les herbes, avec sa voix cachée; ou bien cet oiseau, le martin-pêcheur, qui ressemble à un bijou bleu, lancé sur la rivière, — alors, il y a tant de choses qu'on devine autour de soi.
P.-J. Toulet, la Jeune Fille verte, p. 136.
Qui n'est pas en mouvement (véhicules). || Le train était immobile depuis dix minutes. Arrêt (à l'). || Voiture immobile et en panne. Immobilisé.
c (Choses). Qui, par nature, ne se meut pas; non mobile. || Articulations (cit. 2) immobiles. || Eau de la mer Morte, immobile et chargée d'asphalte (cit. 1). || Objets éternellement immobiles (→ Catacombe, cit. 1). || Statues de dieux immobiles (→ Entablement, cit. 2). || On croyait la terre immobile (→ Émersion, cit.).
d Par métonymie. || Attente immobile (→ Assoupir, cit. 7). || Raideur immobile (→ Fixe, cit. 5). || Immobile contraction au coin de la bouche (→ Garder, cit. 54).
14 Comment aurait-elle pu connaître le bonheur par cette immobile contemplation ?
A. Maurois, Climats, p. 130.
2 (Abstrait). Fixé une fois pour toutes, définitivement figé. Invariable. || Dogmes considérés comme immobiles (→ Évolution, cit. 11). || L'immobile éternité (cit. 4).
15 Il y a peu de relation de nos actions, qui sont en perpétuelle mutation, avec les lois fixes et immobiles.
Montaigne, Essais, III, XIII.
16 Mais j'ai si peur de tout fausser en exprimant. Vous ne trouvez pas que les mots déforment tout ? Ils sont tellement plus immobiles et plus solides que les sentiments (…)
A. Maurois, le Cercle de famille, p. 253.
17 L'esprit critique s'attaque à ce qui est réalisé, à ce qui est immobile, par conséquent, à ce qui est mort (…)
Edmond Jaloux, le Dernier Jour de la création, p. 198.
Vx (langue classique). || Immobile à… Insensible.
18 Immobile à leurs coups, en lui-même il rappelleCe qu'eut de beau sa vie, et ce qu'on dira d'elle (…)
Corneille, Pompée, II, 2.
19 Je demeure immobile à tant de nouveautés.
Molière, l'Étourdi, V, 9.
(Par métaphore du sens 1). Qui ne bouge pas, qui refuse de bouger, de fuir. Ferme, inébranlable.
20 Quelques carrés de la garde, immobiles dans le ruissellement de la déroute comme des rochers dans de l'eau qui coule, tinrent jusqu'à la nuit. La nuit venant, la mort aussi, ils attendirent cette ombre double, et, inébranlables, s'en laissèrent envelopper.
Hugo, les Misérables, II, I, XIV.
3 N. m. || L'immobile : ce qui est immobile.
21 (…) il n'y a que l'immobile qui soit immuable, la nature est éternelle; mais nous autres nous sommes d'hier.
Voltaire, Singularités de la nature, XVIII.
22 L'immobile c'est l'inexorable.
Hugo, l'Homme qui rit, I, II, XVII.
CONTR. Mobile. — Actif, ambulant, branlant, ébranlé, flottant, fluctuant, grouillant, mouvant.
DÉR. Immobilement, immobiliser, immobilisme.

Encyclopédie Universelle. 2012.