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• 1890; séismologie 1904; de sismo- et -logie

n. f. Didac. Partie de la géologie qui étudie les séismes.

⇒SISMOLOGIE, SÉISMOLOGIE, subst. fém.

SC. DE LA TERRE. Science qui a pour objet l'étude des séismes (origine, propagation, conséquences, prévision, etc.) ainsi que celle de toute vibration de l'écorce terrestre ou de secousses provoquées volontairement et de ce que ces phénomènes révèlent de la structure de la Terre. La séismologie a montré qu'en plus des tremblements de terre dont les foyers se situent dans l'écorce terrestre, au voisinage des côtes et des fosses océaniques, il existe sous les continents des foyers allant jusqu'à 700 km de profondeur (Hist. gén. sc., t. 3, vol. 2, 1964, p. 497). V. gravimétrie ex. de Combaluzier.

REM. 1. Sismologique, séismologique, adj. Relatif à la sismologie. Études séismologiques. On observait à l'ancienne station sismologique (...) toutes les sortes d'agitation microsismique (J. Phys. et Radium, 1934, p. 184^D). 2. Sismologue, séismologue, subst. Spécialiste en sismologie. Il suffit au séismologue d'ouvrir son cahier de tables ou de consulter les graphiques qui les traduisent (ROTHÉ, Géophys., 1943, p. 309). Istanbul était sauvée. Pour le moment du moins, car les sismologues s'attendaient à une nouvelle cassure de l'écorce terrestre (N. AVRIL, L'Été de la Saint-Valentin, 1972, p. 53).

Prononc. et Orth.:[], [seis-]. V. sismo-. Étymol. et Hist. a) 1890 (Lar. 19^e Suppl.); b) 1904 séismologie (Nouv. Lar. ill.). Formé de sismo- ou séisme et -logie.

sismologie [sismɔlɔʒi] n. f.

ÉTYM. 1890, P. Larousse, Deuxième Suppl.; séismo-, 1904; de sismo-, et -logie.

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♦ Sc. Étude des séismes. || Traité de sismologie. || Sismologie et volcanologie.

♦ Par ext. Étude des mouvements de l'écorce terrestre, et en particulier de ceux qui sont déterminés artificiellement (explosions, etc.) pour la prospection du sous-sol. ⇒ aussi Sismique, 2.