séquoia [ sekɔja ] n. m.
• 1870; lat. bot. sequoia (1847), du nom d'un célèbre chef indien See-Quayah
♦ Conifère (taxodiacées) originaire de Californie, remarquable par sa longévité et sa hauteur (jusqu'à 150 mètres). ⇒ wellingtonia. Une forêt de séquoias.
● séquoia nom masculin (latin scientifique sequoia) Conifère propre à la Californie, célèbre pour sa haute taille (qui peut atteindre 140 m) et sa longévité (qui peut dépasser 2 000 ans). ● séquoia (difficultés) nom masculin (latin scientifique sequoia) Orthographe et prononciation Avec un accent sur le e mais sans tréma sur le i qui forme syllabe avec le a : [&ph103;&ph89;&ph95;ɔ&ph94;&ph85;], comme dans oyat. - On trouve aussi la prononciation [&ph103;&ph89;&ph95;&ph107;&ph85;&ph94;&ph85;], avec la syllabe -quoi- prononcée comme le pronom quoi. ● séquoia (synonymes) nom masculin (latin scientifique sequoia) Conifère propre à la Californie, célèbre pour sa haute taille...
Synonymes :
séquoia
n. m. Conifère de Californie d'une taille élevée (jusqu'à 140 m) et d'une longue durée de vie (jusqu'à 30-40 siècles).
⇒SÉQUOIA, SEQUOIA, subst. masc.
BOT. Conifère aux dimensions gigantesques, originaire de Californie. Synon. wellingtonia. Sequoia géant. Les essences qui se prêtent le mieux à cette fabrication sont le tilleul, le peuplier, certains résineux, cèdres, cyprès, séquoia (CAMPREDON, Bois, 1948, p. 133). Les cercles successifs relevés dans la tranche d'un gros arbre, qui nous indiquent sans autres calculs que tel chêne avait 300 ans et tel sequoia 3000 (DECAUX, Mesure temps, 1959, p. 113).
Prononc. et Orth.:[
]. ROB. 1985 [
], [sekwaja]. LITTRÉ: se-; Lar. Lang. fr., ROB. 1985: sé-. Séquoïa ds J. ROUAUD, Les Champs d'honneur, Paris, éd. de Minuit, 1990, p. 56. Plur. des sequoias ds ROB. 1985 (1 ex.) mais supra sans s (malgré la graph. francisée sé-). Étymol. et Hist. 1870 (PRIVAT-FOC.). Empr. au lat. bot. sequoia « id. » 1847 (ENDLICHER ds NED) du n. de l'Indien Cherokee Sequoya connu pour avoir inventé en 1822 un alph. syllabique pour écrire sa lang., v. aussi Lang. Monde, p. 1008. Bbg. DUFRENOY (M.-L.). Le Robert et le vocab. exotique. In: Congrès Internat. de Ling. et Philol. Rom. 13. 1971. Québec, 1976, t. 2, p. 39.
]. ROB. 1985 [], [sekwaja]. LITTRÉ: se-; Lar. Lang. fr., ROB. 1985: sé-. Séquoïa ds J. ROUAUD, Les Champs d'honneur, Paris, éd. de Minuit, 1990, p. 56. Plur. des sequoias ds ROB. 1985 (1 ex.) mais supra sans s (malgré la graph. francisée sé-). Étymol. et Hist. 1870 (PRIVAT-FOC.). Empr. au lat. bot. sequoia « id. » 1847 (ENDLICHER ds NED) du n. de l'Indien Cherokee Sequoya connu pour avoir inventé en 1822 un alph. syllabique pour écrire sa lang., v. aussi Lang. Monde, p. 1008. Bbg. DUFRENOY (M.-L.). Le Robert et le vocab. exotique. In: Congrès Internat. de Ling. et Philol. Rom. 13. 1971. Québec, 1976, t. 2, p. 39.
séquoia [sekɔja; sekwaja] n. m.
ÉTYM. 1872, Littré; lat. mod. sequoia; 1847, Endlicher, en lat. bot. : l'arbre avait d'abord été appelé washingtonia ou wellingtonia; du nom d'un célèbre chef cherokee See-Quayah.
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♦ Arbre conifère (Taxodiacées), originaire de Californie, aux dimensions gigantesques. ⇒ Wellingtonia. || Le séquoia est le plus grand arbre connu. || Bois de séquoia.
1 Autour de ces grands sequoias croissent toutes les espèces de conifères : pins, sapins, cèdres, ifs, mélèzes, cyprès. Sur les plus hautes cimes montent les écureuils, pour manger les pignons.
2 (…) je me penche de-ci, de-là, pour reconnaître le cormier géant, le frêne record et, à l'odeur qui persiste, le cèdre argenté, le séquoia à bourre rouge qui, tous deux, faisaient leurs six mètres de tour.
Hervé Bazin, Cri de la chouette, p. 156.
➪ tableau Noms d'arbres, arbustes et arbrisseaux.
Encyclopédie Universelle. 2012.