scirpe [ sirp ] n. m.
• 1800; scirpus 1700; lat. scirpus « jonc »
♦ Bot. Plante herbacée aquatique (cypéracées) qui croît dans les marais et les terrains humides, dont une espèce, appelée jonc des chaisiers (ou des tonneliers), est employée en vannerie.
● scirpe nom masculin (latin scirpus, jonc) Herbe (cypéracée) des marécages, aux feuilles longues et étroites, parfois réduites à l'état de gaines.
scirpe
n. m. BOT Plante herbacée (Fam. cypéracées) des terrains marécageux, dont certaines espèces sont utilisées en vannerie.
⇒SCIRPE, subst. masc.
BOT. Plante herbacée qui croît dans les lieux marécageux et dont une espèce (jonc des chaisiers ou des tonneliers) est employée en vannerie. L'espèce la plus remarquable de ce genre est le scirpe des étangs (...); ses racines rampent et s'étendent au loin dans le fond des lacs, des étangs, des lieux marécageux, et poussent une si grande quantité de tiges, qu'on peut comparer le coup d'œil qu'offrent ces dernières à une forêt de mats ou de plantes sans branches et sans feuilles (LAMARCK, MIRBEL, Hist. nat. des végétaux, t. 5, 1803, p. 290).
Prononc. et Orth.:[
]. Lar. Lang. fr.: scirpe ou scirpus. Étymol. et Hist. 1800 bot. (VALMONT DE BOMARE, Dict. raisonné univ. d'hist. nat., 4e éd., Lyon, XIII ds Fr. mod. t. 33, p. 229). Empr. au lat. d'époque impériale scirpus « jonc », d'où le lat sc. scirpus, 1700 (TOURNEFORT, Inst. rei herbar. ds Encyclop. t. 8, s.v. jonc, qui au paragraphe jonc d'eau atteste ce lat. scientifique).
]. Lar. Lang. fr.: scirpe ou scirpus. Étymol. et Hist. 1800 bot. (VALMONT DE BOMARE, Dict. raisonné univ. d'hist. nat., 4e éd., Lyon, XIII ds Fr. mod. t. 33, p. 229). Empr. au lat. d'époque impériale scirpus « jonc », d'où le lat sc. scirpus, 1700 (TOURNEFORT, Inst. rei herbar. ds Encyclop. t. 8, s.v. jonc, qui au paragraphe jonc d'eau atteste ce lat. scientifique).
scirpe [siʀp] n. m.
ÉTYM. 1827; scirpus, 1765, Encyclopédie; lat. scirpus « jonc ».
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♦ Bot. Plante herbacée (Cypéracées) qui croît dans les marais et les terrains humides, dont une espèce, appelée jonc des chaisiers (ou des tonneliers), est employée en vannerie.
0 Le sol était formé d'un limon argilo-siliceux, mêlé de nombreux débris de végétaux. Des conferves, des joncs, des carex; des scirpes, ça et là quelques couches d'herbages, épais comme une grosse moquette, le recouvraient.
J. Verne, l'Île mystérieuse, t. I, p. 278.
Encyclopédie Universelle. 2012.