maye [ mɛ ] n. f. ♦ Techn. Auge de pierre destinée à recevoir l'huile d'olive dans un pressoir. ⊗ HOM. Mai, maie, mais, mets.
⇒MAYE, subst. fém.
TECHNOL. Pierre creusée en forme d'auge dans laquelle on récupère l'huile d'olive à sa sortie du pressoir. (Dict. XIXe et XXe s.).
Prononc. et Orth.:[
]. Homon. mai, maie, mais, formes de mettre, mets. LITTRÉ: [maj]. Étymol. et Hist. a) Fin du XIe s. mait/maiz «fond d'un pressoir destiné à recevoir le marc à presser» (RASCHI, Gl., éd. A. Darmesteter et D. S. Blondheim, t.1, n° 674); 1346-49 mait (doc. ds GDF.); b) 1767 maye «pierre creuse qui reçoit l'huile du moulin à olives» (Dict. des arts et métiers, huilier ds LITTRÉ). Var. de maie.
]. Homon. mai, maie, mais, formes de mettre, mets. LITTRÉ: [maj]. Étymol. et Hist. a) Fin du XIe s. mait/maiz «fond d'un pressoir destiné à recevoir le marc à presser» (RASCHI, Gl., éd. A. Darmesteter et D. S. Blondheim, t.1, n° 674); 1346-49 mait (doc. ds GDF.); b) 1767 maye «pierre creuse qui reçoit l'huile du moulin à olives» (Dict. des arts et métiers, huilier ds LITTRÉ). Var. de maie.
maye [mɛ] n. f.
ÉTYM. 1762; maie, fin XIe; var. de mait. → Maie.
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♦ Techn. Auge de pierre destinée à recevoir l'huile d'olive, dans un pressoir.
♦ Récipient où tombe la poudre (à canon, de chasse) que l'on crible.
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HOM. Mai, maie, mais, mets.
Encyclopédie Universelle. 2012.