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garde-voie

garde-voie [ gardəvwa ] n. m.
• 1872; de 2. garde et voie
Employé de chemin de fer, soldat (en temps de guerre), chargé de garder la voie. Des gardes-voies.

garde-voie, gardes-voie ou gardes-voies nom masculin Agent chargé de la surveillance des voies ferrées.

garde-voie
n. m. CH de F Agent chargé de la surveillance d'un secteur de voie ferrée. Des gardes-voie(s).

⇒GARDE-VOIE, subst. masc.
A. — Employé de chemin de fer qui surveille une voie. Le mécanicien et le conducteur (...) discutaient (...) avec un garde-voie (VERNE, Tour monde, 1873, p. 164).
B. — Soldat qui est chargé de surveiller une voie ou un ouvrage d'art en temps de mobilisation. L'express Paris-Lyon-Méditerranée roule précautionneusement le long des coteaux bourguignons (...). Un feu de camp de garde-voies fait entrevoir des hommes encapuchonnés dont le vent plaque le manteau sur le corps (VAILLAND, Drôle de jeu, 1945, p. 121).
Prononc. et Orth. : []. Au plur. des garde-voies. Cf. garde-. Étymol. et Hist. 1872 (Lar. 19e). Composé de garde2 et de voie.

garde-voie [gaʀdəvwa] n. m.
ÉTYM. 1872; de garde-, et voie.
Employé de chemin de fer chargé de garder la voie.(XXe). Soldat chargé de cette surveillance en temps de guerre. Abrév. : G. V. C. (garde des voies et communications).Plur. || Des gardes-voies.

Encyclopédie Universelle. 2012.