galéopithèque [ galeɔpitɛk ] n. m. ♦ Zool. Mammifère frugivore nocturne de Malaisie et des Philippines (dermoptères), qui possède une membrane parachute reliant les membres antérieurs aux membres postérieurs et à la queue lui permettant de planer.
● galéopithèque nom masculin Mammifère du Sud-Est asiatique, forestier, nocturne et végétarien, muni d'un patagium qui lui permet de longs vols planés. (Les galéopithèques forment le petit ordre des dermoptères.)
galéopithèque
n. m. ZOOL Mammifère arboricole d'Asie du S.-E. qui peut planer grâce à une membrane joignant ses pattes et sa queue.
⇒GALÉOPITHÈQUE, subst. masc.
ZOOL. Mammifère insectivore de la famille des Chéiroptères, de la taille d'un petit chat, possédant une membrane parachute qui relie les membres antérieurs aux membres postérieurs et à la queue. Synon. singe volant. Parmi les Cheiroptères, dont le poil est court, fin et comme velouté, les galéopithèques en ont sur la membrane des côtés de la queue et sur les oreilles (CUVIER, Anat. comp., t. 2, 1805, p. 600).
Prononc. : [
]. Étymol. et Hist. [1545 d'apr. Pt ROB.]; 1799 (AUDEBERT, Hist. nat. des singes, pl. 1 ds DG). Empr. au lat. sc. galeopithecus (1780, PALLAS, in Acta Academiae Petropolitanae, IV ds AGASSIZ Mamm.) composé du gr. 
, 
« belette; putois » et 
« singe ». Fréq. abs. littér. : 22.
]. Étymol. et Hist. [1545 d'apr. Pt ROB.]; 1799 (AUDEBERT, Hist. nat. des singes, pl. 1 ds DG). Empr. au lat. sc. galeopithecus (1780, PALLAS, in Acta Academiae Petropolitanae, IV ds AGASSIZ Mamm.) composé du gr. , « belette; putois » et « singe ». Fréq. abs. littér. : 22.
galéopithèque [galeopitɛk] n. m.
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♦ Zool. Mammifère insectivore, animal nocturne de la taille d'un chat, qui possède une membrane parachute reliant les membres antérieurs aux membres postérieurs et à la queue. || Grâce à sa membrane, le galéopithèque (appelé aussi taguan ou chat volant) peut faire de grands sauts de branche en branche; il habite Madagascar, les îles de la Sonde, les îles Philippines et l'Indochine.
➪ tableau Noms de mammifères.
Encyclopédie Universelle. 2012.