dentée [ dɑ̃te ] n. f. ♦ Vén. Coup de dent donné par le chien au gibier.
♢ Coup des défenses du sanglier (⇒ décousure).
● denté, dentée adjectif Qui a des saillies en forme de dents : Roue dentée. Bordé de petites échancrures triangulaires, égales ou inégales : Feuilles dentées. ● denté, dentée (difficultés) adjectif Sens Les deux termes sont presque synonymes. 1. Denté = qui présente des saillies en forme de dents. Denté se dit surtout de pièces mécaniques : roue dentée. 2. Dentelé = dont le bord forme des découpures pointues, des dents. Dentelé se dit d'organes vivants : ligament dentelé, feuille dentelée.
⇒DENTÉE, subst. fém.
VÉN. Coup de dent du chien au gibier ou du sanglier au chien de chasse.
— P. ext. [En parlant d'un animal] Quantité d'aliment qu'il peut saisir d'un coup de dent. Brebis qui bêle perd sa dentée d'herbe (LAMART., Cours litt., 1859, p. 263).
Prononc. et Orth. :[
]. Ds Ac. 1718-1932. Étymol. et Hist. 1. Fin XIIe s. « coup sur les dents » (Aliscans, éd. E. Wienbeck, W. Hartmacke et P. Rasch, 7138); 2. av. 1560 chasse (J. DU BELLAY, Compl. sur la mort du duc Hor. Farnèse ds DG). Dér. de dent; suff. -ée. Bbg. LEW. 1960, p. 84.
]. Ds Ac. 1718-1932. Étymol. et Hist. 1. Fin XIIe s. « coup sur les dents » (Aliscans, éd. E. Wienbeck, W. Hartmacke et P. Rasch, 7138); 2. av. 1560 chasse (J. DU BELLAY, Compl. sur la mort du duc Hor. Farnèse ds DG). Dér. de dent; suff. -ée. Bbg. LEW. 1960, p. 84.
dentée [dɑ̃te] n. f.
ÉTYM. Fin XIIe, « coup sur les dents »; de dent, et -ée.
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♦ (Av. 1560). Vén. Coup de dent donné par le chien au gibier. — Coup des défenses du sanglier (⇒ Décousure).
0 Il s'agissait aussi de nous peindre le monstre, qui est un sanglier très redoutable; un de ces solitaires qui ne se fient qu'à leurs défenses, et dont la dure dentée découd les chevaux et blesse les mâtins « au coffre du corps ».
Valéry, Variété, p. 87.
♦ Par ext. Quantité de nourriture qu'un animal peut saisir d'un coup de dent.
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HOM. 1. Denté, 2. denté.
Encyclopédie Universelle. 2012.