stator [ statɔr ] n. m.
• 1901; du lat. status « fixé »
♦ Techn. Partie fixe d'un générateur, d'un moteur électrique (opposé à rotor).
● stator nom masculin (latin statum, de stare, se tenir debout) Partie fixe d'une machine, par opposition au rotor, qui est la partie mobile.
stator
n. m. TECH Partie fixe de certaines machines (moteurs électriques, turbines, etc.), par oppos. à la partie tournante, dite rotor.
⇒STATOR, subst. masc.
TECHNOL. Partie fixe d'une machine électrique (alternateur, moteur) ou à énergie mécanique (compresseur, etc.), par opposition au rotor, partie mobile. [Le système d'embrayage automatique] comporte une turbine (le rotor), solidaire de l'arbre moteur, tournant en regard d'aubages analogues (le stator), solidaires de l'arbre de transmission (TINARD, Automob., 1951, p. 340). V. enroulement B 2 b ex. de J. Mercier.
Prononc.:[
]. Étymol. et Hist. 1901 (J. JOUBERT, Traité élémentaire d'électricité, Paris, Masson, 4e éd., p. 504 ds QUEM. DDL à paraître). Formé par empr. au lat. stator « celui qui se tient debout, immobile, ordonnance, planton », dér. de stare « se tenir debout, immobile, stationner »; cf. aussi l'angl. stator att. à la même époque (1903 ds NED). Bbg. QUEM. DDL t. 9.
]. Étymol. et Hist. 1901 (J. JOUBERT, Traité élémentaire d'électricité, Paris, Masson, 4e éd., p. 504 ds QUEM. DDL à paraître). Formé par empr. au lat. stator « celui qui se tient debout, immobile, ordonnance, planton », dér. de stare « se tenir debout, immobile, stationner »; cf. aussi l'angl. stator att. à la même époque (1903 ds NED). Bbg. QUEM. DDL t. 9.
stator [statɔʀ] n. m.
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DÉR. Statorique.
Encyclopédie Universelle. 2012.