murex [ myrɛks ] n. m.
• 1505; mot lat.
♦ Mollusque gastéropode à coquille épaisse, hérissée d'épines, dont les Anciens tiraient la pourpre.
● murex nom masculin (latin murex, -icis, coquillage) Mollusque gastropode des mers chaudes, sécréteur de pourpre, à la coquille hérissée d'épines et qui, à l'aide d'une trompe dentée, perce la coquille des autres mollusques pour se nourrir de leur chair.
murex
n. m. Mollusque gastéropode marin dont la coquille est garnie d'épines, de tubercules, et prolongée en siphon tubulaire. Les Anciens extrayaient la pourpre d'une espèce méditerranéenne de murex.
⇒MUREX, subst. masc.
Mollusque gastéropode univalve à la coquille hérissée de pointes, vivant dans les mers chaudes ou tempérées, dont les anciens tiraient la pourpre. Synon. rocher. Les mollusques que les naturalistes désignent sous le nom de Murex sont des animaux marins vivant dans toutes les mers (COUPIN, Animaux de nos pays, 1909, p. 422).
Prononc. et Orth. :[
]. Att. ds Ac. dep. 1762. Étymol. et Hist. A. Ca 1265 murique (BRUNET LATIN, Trésor, éd. J. Carmody, I, CXXXIII, 4, p. 130). B. 1505 murex (DESDIER CHRISTOL, Platine en françoys, fol 92 r° b d'apr. R. ARVEILLER ds Mél. J. Séguy, p. 74 : le murex ou murice). Empr., une re fois à l'acc., une seconde fois au nomin. du lat. murex, -icis « murex, pourpre ». Fréq. abs. littér. : 14.
]. Att. ds Ac. dep. 1762. Étymol. et Hist. A. Ca 1265 murique (BRUNET LATIN, Trésor, éd. J. Carmody, I, CXXXIII, 4, p. 130). B. 1505 murex (DESDIER CHRISTOL, Platine en françoys, fol 92 r° b d'apr. R. ARVEILLER ds Mél. J. Séguy, p. 74 : le murex ou murice). Empr., une re fois à l'acc., une seconde fois au nomin. du lat. murex, -icis « murex, pourpre ». Fréq. abs. littér. : 14.
murex [myʀɛks] n. m.
ÉTYM. 1505; mot latin, même sens.
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♦ Zool. Mollusque gastéropode prosobranche (Monotocardes) dont la coquille épaisse, turriculée, hérissée d'épines acérées, est prolongée en un long siphon tubulaire. || La pourpre du murex était utilisée par les anciens comme colorant. || Le rocher, variété de murex.
Encyclopédie Universelle. 2012.