mont-blanc [ mɔ̃blɑ̃ ] n. m.
• 1863; de mont Blanc, n. d'une montagne aux neiges éternelles
♦ Crème de marrons garnie de crème fouettée. Des monts-blancs.
● mont-blanc, monts-blancs nom masculin (de mont Blanc, nom propre) Entremets froid fait d'un dôme de crème chantilly entouré d'une bordure de purée de marrons. ● mont-blanc, monts-blancs (difficultés) nom masculin (de mont Blanc, nom propre) Orthographe Avec un trait d'union. - Plur. : des monts-blancs. Sens Ne pas confondre un mont-blanc (= un entremets aux marrons) avec le mont Blanc (= sommet des Alpes).
Mont-Blanc
(massif du). V. Blanc (mont).
⇒MONT-BLANC, subst. masc.
GASTR. Crème ou gâteau de marrons fourré de crème fouettée, par référence à la cime neigeuse du plus haut massif des Alpes. Puis les pâtisseries, babas, mont-blanc, saint-honoré, talmouses, croquembouches, achevèrent le triomphe du moderne Vatel et celui du général (SÉGUR, Auberge ange gard., 1863, p.350).
Prononc. et Orth.: []. Plur. des monts-blancs. Étymol. et Hist. 1863 id.; de nouv. 1938 (MONT.-GOTTSCHALK). De mont Blanc, terme de géogr. Bbg. QUEM. DDL t.16.
mont-blanc [mɔ̃blɑ̃] n. m.
ÉTYM. 1863; du mont Blanc, montagne des Alpes.
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♦ Crème ou gâteau de marrons avec une garniture de crème fouettée (qui fait penser à une montagne neigeuse). Plur. || Des mont-blanc ou des monts-blancs.
0 Puis les pâtisseries, babas, mont-blanc, saint-honoré, talmouses, croquembouches, achevèrent le triomphe du moderne Vatel et celui du général (Dourakine).
Csse de Ségur, l'Auberge de l'Ange-Gardien (1863), in D. D. L., II, 16.
Encyclopédie Universelle. 2012.