javeau [ ʒavo ] n. m. ♦ Île de sable, de limon, formée par le débordement d'un cours d'eau. Des javeaux.
⇒JAVEAU, subst. masc.
EAUX ET FORÊTS. ,,Dans une rivière, île formée par un amas de sables et de limons, résultat d'un alluvionnement`` (PLAIS.-CAILL. 1958). J'abordai un javeau, une île molle des inondations du dernier été et je m'y évanouis (ARNOUX, Rhône, 1944, p. 256).
Prononc. et Orth. : [
]. Att. ds Ac. dep. 1762. Étymol. et Hist. 1. 1re moitié XIIIe s. fig. « monceau (de victimes) » (RAIMBERT DE PARIS, Ogier le Danois, éd. M. Eusebi, 3882); 2. 1572 (Ordonnance de Charles IX d'apr. la note de l'éd. 1611 de la Somme rural de Bouteillier, p. 429 ds GDF.). Forme masc. de javelle.
]. Att. ds Ac. dep. 1762. Étymol. et Hist. 1. 1re moitié XIIIe s. fig. « monceau (de victimes) » (RAIMBERT DE PARIS, Ogier le Danois, éd. M. Eusebi, 3882); 2. 1572 (Ordonnance de Charles IX d'apr. la note de l'éd. 1611 de la Somme rural de Bouteillier, p. 429 ds GDF.). Forme masc. de javelle.
javeau [ʒavo] n. m.
ÉTYM. 1572; au XIIIe, emploi fig. « tas, monceau (de victimes) »; forme masc. de javelle.
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♦ Techn. (eaux et forêts) ou régional. Île de sable, de limon, formée par le débordement d'un cours d'eau.
Encyclopédie Universelle. 2012.