chandail [ ʃɑ̃daj ] n. m. ♦ Gros tricot de laine qui s'enfile par la tête. ⇒ pull-over. Des chandails à col roulé.
● chandail nom masculin (abréviation populaire de marchand d'ail, nom donné aux tricots portés par les gens des Halles) Vêtement de tricot fermé. ● chandail (synonymes) nom masculin (abréviation populaire de marchand d'ail, nom donné aux tricots portés par les gens des Halles) Vêtement de tricot fermé.
Synonymes :
- tricot
chandail
n. m. Gros tricot de laine.
⇒CHANDAIL, subst. masc.
HABILL. Vêtement de dessus en tricot de laine généralement épais, à col roulé et manches longues, qui s'enfile par la tête et s'arrête à la taille ou aux hanches. Chandail décoré de motifs Jacquard (M. BUTOR, La Modification, 1957, p. 53). Le torse serré dans un gros chandail de laine (G. DUHAMEL, Chronique des Pasquier, Le Désert de Bièvres, 1937, p. 136). Les Montparnassiens usaient, à Paris, salopettes, chandails, chemises, sandales du bord de la mer (COCTEAU, Poésie crit. 1, 1959, p. 257).
Prononc. et Orth. :[
]. Ds Ac. 1932. Étymol. et Hist. 1894 (d'apr. L. CLÉDAT, Dict. étym., 4e éd., p. 117, note d'apr. J. VENDRYES, Le Langage, 1921, p. 226). Abrév. pop. de (mar)chand d'ail, nom donné au tricot porté par les vendeurs de légumes aux Halles de Paris. Fréq. abs. littér. :89.
]. Ds Ac. 1932. Étymol. et Hist. 1894 (d'apr. L. CLÉDAT, Dict. étym., 4e éd., p. 117, note d'apr. J. VENDRYES, Le Langage, 1921, p. 226). Abrév. pop. de (mar)chand d'ail, nom donné au tricot porté par les vendeurs de légumes aux Halles de Paris. Fréq. abs. littér. :89.
chandail [ʃɑ̃daj] n. m.
ÉTYM. Fin XIXe; de chand (marchand) d'ail, nom du tricot porté par les vendeurs de légumes aux Halles.
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♦ Gros tricot de laine s'enfilant par la tête et couvrant le torse. || Des chandails. || Chandail à col roulé, en V. || Chandail à motif Jacquard. ⇒ Pull-over, tricot. — Vx. || Chandail de coureur cycliste. ⇒ Maillot. || Chandail de sport (→ 1. Barbeau, cit. 2).
0 Il était habillé, comme la première fois, d'un chandail blanc à col roulé. Un de ces chandails à côtes torsadées, en laine brute qu'en Irlande tricotent les femmes des marins, avec un dessin propre à chaque famille et qui sert à identifier les corps des hommes noyés, que la mer rejette.
Geneviève Dormann, le Bateau du courrier, p. 87.
Encyclopédie Universelle. 2012.